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 Hunt you down, eat you alive ღ Theodorus

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Juliet Yaxley
Juliet Yaxley
You know I'm no good

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ϟ Métier : Femme à tout faire ϟ Âge : 27 ans ϟ Race et sang : Sorcière de sang mêlé ϟ Particularité : Voyante, les étoiles lui disent certain de vos secrèts. ϟ Statut civil : Célibataire

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ϟ Messages : 497 ϟ Date d'inscription : 25/05/2014 ϟ Disponibilité RP : Ouverte ϟ Célébrité : Odette Annable ϟ Pseudo : PresleyCash ϟ Crédits : Loudsilence et Tumblr

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MessageSujet: Hunt you down, eat you alive ღ Theodorus   Hunt you down, eat you alive ღ Theodorus Empty11.12.16 20:54



Hunt you down, eat you alive
ft. Théodorus Washington & Juliet Yaxley

La flemme vacillante d'une chandelle était la seule source de lumière éclairant faiblement l'antique coiffeuse sur laquelle des dizaines de photos animées étaient éparpillées. La nuit était tombée depuis longtemps et les rideaux de toutes les fenêtres qui ornaient la chambres avaient beau être grande ouverts, les épais nuages ne laissaient filtrer aucun rayon de lune. Juliet avait toujours eu plus de facilité à s'endormir lorsqu'une telle température régnait et pourtant cette nuit faisait exception. Ses brulements d'estomacs semblaient impossibles à faire disparaitre lorsqu'elle était allongée, mais heureusement la découverte de ce que contenait l'un des coffrets de sa mère lui permettait de les oublier momentanément. C'était si étrange pour elle de voir ces clichés de sa mère lorsqu'elle était enfant en compagnie de diverses personnes de sa famille ou d'autres moins connus qu'elle devinait être des amis. La mère en devenir reconnu d'ailleurs rapidement l'un des visages se trouvant sur une photo prise derrière le domaine Washington. Celle qu'elle considérait comme sa tante, Régina, s'y trouvait assise dans l'herbe de sa mère en compagnie d'un autre jeune homme dont le visage lui semblait étonnamment familier bien qu'elle n'arrivait pas à le replacer. Tournant la photo, une fine écriture à l'encre laissait apparaître trois prénoms : Éleandra, Régina & Ichabod. Fronçant les sourcils, elle tentait de se rappeler pourquoi cet homme lui semblait si familier alors que son nom quant à lui, lui était inconnu.

Le grondement caractéristique d'un orage qui se préparait la tira de ses pensées et elle se leva afin de se diriger vers la fenêtre, une fenêtre donnant sur le jardin qu'elle ne parvenait pas à apercevoir sauf lorsqu'un éclair déchirait la nuit. Une main posée de façon protectrice contre son ventre arrondis légèrement apparent sous sa robe de nuit, elle portait l'autre à son épaule où on pouvait à peine apercevoir la blessure presque guérie causée par la flèche de ces monstres en sursis. Son oncle avait déjà une excellente piste, mais ils n'étaient pas encore parvenus à remonter jusqu'à eux pour son plus grand agacement. Concentrée, elle tentait de se rappeler de chaque seconde de cette journée lorsqu'elle sentit sa tête tourner avant de la faire souffrir horriblement. Gémissante, elle se laissait glisser doucement contre le sol, consciente que si elle ne le faisait pas d'elle même ses jambes finiraient pas céder et qu'elle risquerait de se blesser. Se fermant les yeux, elle assista à un flot d'image se succédant avec une rapidité folle dans son esprit et ce n'est qu'une fois qu'elles furent entièrement disparue qu'elle put retrouver son souffle. Blottissant sa tête contre le mur sous la fenêtre, Juliet eut besoin de plusieurs minutes avant de finalement ouvrir à nouveau les yeux, un sourire inquiétant se dessinant sur son visage.

Elle avait franchit les pas la séparant de la chambre de Théodorus sur la pointes des pieds. Debout devant la grande porte, elle avait cogné quelques coups discrets. Depuis son arrivé, elle avait su rester discrète afin de ne jamais le déranger de sa présence, mais cette fois elle était bien décidée à lui parler qu'il le souhaite ou non. S'adossant contre le mur de l'autre côté de la porte, elle attendit qu'il vienne la rejoindre, cognant à nouveau contre cette dernière s'il était nécessaire. Ce n'est que lorsque son visage apparu qu'elle commença à trépigner d'impatience.

« Amène-moi faire une balade... »

Juliet avait beau essayer de laisser planer le suspense, elle en était tout simplement incapable. Un sourire mutin accroché au visage, elle mordillait légèrement sa lèvre inférieur avant de craquer.

« Je sais où ils se cachent... »

S'approchant de lui, elle minimisait la distance les séparant afin d'approcher ses lèvres de son oreille et d'y murmurer d'un ton qui ne cachait en rien l'excitation provoquée par cette soif de vengeance.

« J'ai envie de jouer, et de te voir jouer. »

****

Le jour avait commencé à se lever et pourtant tout était toujours aussi sombre. Baguette à la main, Juliet se trouvait à peine quelques pas derrière son oncle alors qu'ils avaient retrouvés la maisonnette de sa vision grâce aux talents de l'homme. La maison était complètement délabrée et bien qu'ils ignoraient le nombre exact de pro-moldus qui s'y trouvaient, elle avait au moins une certitudes, ceux qui avaient attenté à leurs vies y étaient et elle comptait bien leur faire horriblement regretté leur geste.

« On garde le même plan ? »

Juliet avait envie de s'impliquer, mais elle n'était pas prête à mettre la merveille qui grandissait en son ventre en danger. Elle avait d'ailleurs été touchée que son oncle comprenne pourquoi elle ne souhaitait pas y aller la première, elle n'avait pas peur de plonger dans l'action, ça l'avait toujours exalté, mais la présence de son précieux bébé avait changé bien des choses...

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Theodorus A. Washington
Theodorus A. Washington

ϟ Métier : Leader du Conseil des Mages ϟ Âge : 49 ans ϟ Race et sang : sang-mêlé ϟ Statut civil : Célibataire

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ϟ Messages : 467 ϟ Date d'inscription : 19/01/2015 ϟ Disponibilité RP : régulier ϟ Célébrité : Johnny Depp ϟ Crédits : PresleyCash

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MessageSujet: Re: Hunt you down, eat you alive ღ Theodorus   Hunt you down, eat you alive ღ Theodorus Empty20.01.17 13:35


   

La vengeance est le plaisir des Dieux



   Depuis l'attaque des pro-moldus le Conseil était en état de siège et les mesures de sécurité s’en était retrouvé renforcées. Nul ne pouvait circuler sans décliner ses papiers d’identités sur laquelle apparaissait la communauté à laquelle chaque citoyen appartenait. Bien que la menace paraissait avoir été étouffé dans l'oeuf grâce à l'intervention des enquêteurs des factions, nul n’était définitivement à l’abri, car rien ne prouvait que d’autres assassins isolés n’attendaient pas leur heure tapis dans l’ombre. Fort heureusement, les attentats que ces microbes avaient préparés s’était tous soldés par de cuisants échec, toutefois, ils étaient malgré tout parvenu à abattre le vieux Jenkins, à blesser un membre de la famille Jones ainsi que  lui-même et Juliet, ce que Theodorus c'était bien évidemment abstenu de révéler aux Aurors venus s'enquérir de sa santé. Régina pour sa part restait introuvable, était-ce les pro-moldus qui la détenait et qui lui aurait soutirer certaines informations comme le moyen de pénétrer dans sa propriété ? C’était une possibilité à laquelle Theodorus ne croyait pas véritablement car il connaissait suffisamment sa cousine pour savoir que jamais elle n’aurait cédé à leurs menaces, elle aurait feinté afin de pouvoir les attirer dans un piège mais les aider, il n’y croyait pas une seule seconde, cela ne lui indiquait en tout cas toujours pas où elle avait disparu, mais en cet instant au diable Régina, Theodorus était furieux contre les services de sécurité et contre Nero en particulier ! Ce chacal ! Lui qui se trouvait au service des renseignements comment avait-il pu être aussi négligeant ?!!! Des forces d'intervention avait été prévenu des intentions de ces terroristes et s'étaient retrouvés postés non loin du lieu d'habitation de chaque famille appartenant au Conseil afin de pouvoir les protéger sans avoir prit le soin de les avertir au préalable afin de limiter les risques de fuites. Une négligence du point de vu de Theodorus qui estimait que compte tenu de la menace chaque membre aurait du être averti que sa vie et celle de ses proche était en danger. Les pro-moldus auraient pu leur porter un coup fatal, ils avaient été à deux doigts de réussir et cette seule idée ne le faisait pas décolérer. Des têtes étaient tombé au sein de son administration et ce n’était pas fini, cela ne faisait que commencer.
Theodorus ne pouvait pas prétendre que la mort de ce vieux débris de Jenkins l’avait chagriner mais cela signifiait qu'Ulrich allait prendre sa place au sein du conseil et s'il pouvait parfaitement composer avec l’ancêtre, il se méfiait du fils dont il avait cependant bien l’intention de s’attirer la sympathie.

Lorsque les Aurors étaient venus s'enquérir de sa santé et lui résumer ce qui était arrivé aux autres membres du Conseil et ainsi qu’à Boston, Theodorus les avait religieusement écouter avant de les rassurer en prétendant n’avoir été la victime d’aucun attentat, n’hésitant cependant pas à rajouter qu’il serait plus en confiance de savoir quelques Aurors prêt à assurer sa sécurité dans sa propriété en cas de danger. Personne n’aurait pu deviner qu’un peu plus tot sa propriété s’était transformé en un véritable champs de bataille, ni même qu’il ait pu être blessé. Theodorus avait pu donner le change grâce à sa facilité à mentir mais aussi et surtout grâce aux soins qu'on lui avait administré. Grâce à la réactivité et au travail de ses elfes de maison, rien ne laissait supposer qu'un combat avait eut lieu entre ces murs. Sa parole ne fut pas remis en question une seule seconde de par son statut de Haut-Conseiller tout d'abord, par son autorité naturelle et menaçante qui se dégageait de lui mais également grâce à la géographie de son lieu d'habitation qui était normalement inaccessible aux moldus. C’est ainsi, alors qu’on était venu l’informer de tout ce qui venait de se passer, qu’il découvrit que tous les pro-moldus avaient été arrêté et le réseau totalement démantelé sans qu'ils n’aient eut le temps de mettre leurs sombres projets à exécution.  L'homme politique avait d'ailleurs préparé un discours dans lequel il congratulait l'intervention des quatre faction sans qui tout cela n'aurait pas été possible tout en ne se gênant pas pour mettre en avant le travail exceptionnel du Professeur Brown et des Mages Fondateurs qui étaient parvenu à déjouer leurs plans grâce à leurs compétences et sans qui cette victoire décisive n'aurait pu être possible.
Concernant les misérables étaient parvenus à séchapper, ceux qui s'en était pris à lui, à sa nièce et à son neveu qui grandissait en son sein, il comptait bien s'en charger personnellement et leur faire regretter d'être né. Personne ne devait savoir qu'on les avait attaqué et que leurs agresseurs s'étaient enfuis car il mettait un point d'honneur à se charger lui-même de cette affaire. Ces vermisseaux allaient comprendre leur douleur de s'en être prit à lui, aux siens et de l'avoir raté.…

Incapable de se lancer lui-même à leur poursuite, à cause de ses fonctions qui en cet instant de crise l'avait retenu ailleurs, mais également à cause de ses blessures qui le faisaient terriblement souffrir malgré les potions qu'on lui avait préparé et qui avait mis du temps à agir avant d’être anesthésié, Theodorus avait lancé ses meilleurs hommes sur leur poursuite. Tel des chiens de chasses, ils avaient brillamment remonté leurs pistes jusqu'à ce qu'ils ne perdent inexplicablement  leurs traces provoquant par là-même la colère de Theodorus qui ne tolérait pas le mot échec et encore moins dans ce cas précis !
Faisant fi de son état, le sorcier avait mené de front deux combats. Officiellement, il réagissait à la crise qu'avait provoqué les exactions de ces maudits terroristes, mais officieusement, il se lançait indirectement à la poursuite de ceux qui étaient parvenus à s'échapper de sa propriété.

Plongé dans ses réflexions, Theodorus faisait tournoyer le liquide ambré du whisky-pur-feu qui se trouvait dans le verre de Cristal qu'il tenait en main. Cette journée avait été particulièrement éprouvante et son corps réclamait du repos qu’il était incapable de lui fournir. La colère le tenait éveillé, et la frustration de voir ses proies lui filer entre les doigts le plongeait dans une rage folle, mais plus il y réfléchissait plus il était persuadé qu’il y avait un traître dans son entourage. Comment de vulgaires moldus avaient-ils pu atteindre Boston sans aide ? Comment avaient-ils réussi l'exploit de parvenir à éviter les sortilèges de protection qui entouraient sa propriété alors même que des sorciers confirmés s'y étaient laissés prendre ?!! Comment pouvaient-ils savoir où chaque membre du Conseil se trouverait au moment précis de leur attaque ?! Une fois encore il n'y avait qu'une seule réponse de possible : quelqu'un les avait informé ! Quelqu'un qui les connaissait très bien. Ses soupçons s’était en premier lieu porté sur Régina qui avait mystérieusement disparu mais le pacte qu'ils avaient passé l'innocentait complètement, de plus elle avait beau être une manipulatrice sans une once de pitié pour ses adversaires et détester une grande partie des personnes siégeant au Conseil jamais elle ne s’allierait avec des moldus même pour faire le sale boulot. Ses soupçons se dirigèrent alors vers une autre personne qui semblait pour la seconde fois, avoir été épargné par ces attentats, une personne qui avait complètement disparu de la circulation depuis le décès de sa femme : Nero Burton. Nero à qui rien n'échappait jamais, Nero qui était à la tête du service des renseignements et qui cherchait à venger sa femme à tout prix, mais de là à s'allier avec les pro-moldus....

Portant le verre d'alcool à ses lèvres, il laissa le liquide brûler sa gorge et le réchauffer. Ce court instant de félicité fut interrompu  par quelques coups discrets donné à sa porte. Tournant son visage en direction de cette dernière, il la fixa d'un air agacé, contrarié que l'on se permette ainsi de venir le déranger alors qu'il réfléchissait au moyen de confondre le traître. Gardant le silence, il se dit que Juliet, dont il avait reconnu la manière de frapper, penserait qu'il dormait et s'en irait sans insister davantage. Sa nièce et lui s'étaient beaucoup rapprochés ces derniers temps, depuis qu'elle lui avait ouvertement parlé de son mariage avec Victor et qu'elle cherchait à en savoir plus sur sa mère à vraie dire. Sur sa mère et en particulier sur ce don de double vue qu'elle lui avait transmis et qui, de son point de vue, s'apparentait plus à une malédiction. En bien des points, Juliet lui rappelait sa mère, la seule femme pour qui il avait éprouvé des sentiments, à la différence prêt que la fille était bien plus forte et résistante que la mère. La preuve en était qu'elle avait eut assez de force pour quitter Victor et reprendre sa vie en main, ce qu'Eleandra n'avait jamais été capable de faire. Fort heureusement, et bien qu’elle ne fut guère épargné par ce double attentat, Juliet et son enfant se portaient bien, leurs vies n'étaient plus en danger.
Bien qu'il imaginait combien elle avait du être durement éprouvé par cet attentat et qu'elle devait probablement souhaiter trouver un peu de réconfort dans ses bras, Theodorus n'était pas disposer à lui offrir ce qu'elle désirait. Pas maintenant en tout cas. Elle devait comprendre qu'il n'était pas son père et qu’il avait besoin de se retrouver seul, de réfléchir, de trouver celui qui aurait tout intérêt à aider les pro-moldus, trouver le traître pour lui faire endurer mille supplices et fomenter une vengeance aussi douloureuse que terrifiante envers ceux qui avait oser attenter à sa vie. Le couloir semblait vidé de toute présence et alors qu'il la pensait partie, de nouveaux coups se mirent à retentir contre la porte au moment où il s'apprêtait à porter son verre de whisky à ses lèvres.
Lâchant un soupir exaspéré, il posa bruyamment son verre sur la commode qui se trouvait à sa droite et alla ouvrir la porte d'un air contrarié. Juliet se tenait-là, face à lui, toute souriante, elle n'avait nullement l'attitude d'une personne qui recherchait un quelconque réconfort… ce qui eut le mérite d’attiser sa curiosité. Lorsqu'elle lui demanda de l'accompagner faire une balade, Theodorus l'observa avec autant de surprise que de mécontentement. Pensait-elle sincèrement qu'il avait envie de... le fils de ses pensées fut interrompu dès lors que son regard croisa le sien et qu'il aperçut le petit sourire mutin et victorieux se dessiner sur ses lèvres fines. Dans ses yeux se mirent alors à briller une étincelle de victoire tandis qu'un rictus mauvais déformait ses lèvres. Il avait comprit. Il ignorait comment elle s'y était prise mais elle savait. Elle savait où ces rats se terraient. Sa conviction fut renforcé par ses dires qui lui confirma ce qu'il venait de deviner. Ouvrant la porte plus grand pour le laisser passer, il quitta sa chambre et la rejoignit un sourire carnassier aux lèvres tandis qu'elle s'approchait également de lui et qu'elle lui murmurait des mots ô combien excitant dans le creux de son oreille. Pour la première fois, il posa les yeux sur sa nièce non pas comme un proche parent mais plutôt comme un homme regarde une femme qui lui plaisait. Il y avait ce parfum de danger, de folie vengeresse et de sensualité mêlé à quelque chose de faussement ingénue qui l'entourait et qui la rendait terriblement attirante. Le regard mauvais, il enlaça sa taille, et lentement murmura à son tour au creux de son oreille, dans un souffle : montres-moi


****

Il avait laissé Juliet lui expliquer la teneur de ses vision, lui décrivant avec une précision et une exactitude époustouflantes l'endroit dans lequel ces mécréants avaient trouvé refuge. Le localiser fut ensuite un jeu d’enfant. Il ne leur avait fallu que quelques secondes pour se rendre à l'endroit tant désiré. La folie pouvait se lire dans leurs regards, une folie mêlé à l'excitation de savoir que dans quelques minutes ,ils allaient faire souffrir les répugnantes créatures qui s'étaient réfugiés dans cette bicoques et qui se pensaient à l'abri de leurs courroux.  
La nuit commençait tout doucement à décliner, pour laisser place à une nouvelle journée, le moment idéale pour attaquer. Les hommes qui se trouvaient à l'intérieur devaient dormir et si ce n'était pas le cas, si certains veillaient, la fatigue sûrement était entrain de les gagner et leurs réflexes obligatoirement amoindrit. La voix de juliet se mit à résonner derrière lui, à son écoute, Theodorus s'était contenté de se tourner vers elle en affichant un sourire mauvais en guise de réponse. Puis, après avoir déposé un baiser sur son front, la baguette tendue en avant, il fit exploser la porte d’entrée à l'aide d'un sort qui entraîna dans son sillage l'une de leur proie. Alerté par ce vacarmes, les deux hommes présent dans la pièce se levèrent comme un seul homme encore empêtrés dans leurs couvertures de fortune prêt à répliquer, mais Theodorus et Juliet furent plus rapides et des chaînes vinrent s'enrouler autour des chevilles, des poignets, de la taille et de la bouche des ces maudits rats qui se trouvèrent immobilisés et réduit au silence. Les yeux de ces derniers s'agrandirent d'horreur en reconnaissant ceux qui venait de pénétrer dans leur refuge. S'approchant lentement de l'un de ses prisonniers qui se mit à couiner désespéramment de terreur,  Theodorus prononça un mot de sa voix sévère et implacable, tout en observant les lieux avec une extrême prudence,

- Taurus !

Un pop sonore se mit à résonner et une immonde petite créature qui n'avait plus que la peau sur les os, faisant ressortir davantage encore si c’était possible ses énormes yeux globuleux et ses grandes oreilles, habillé de guenilles, fit son apparition les mains croisé devant lui et la tête incliné en signe de soumission

- Le maître a appelé Taurus

- Vérifies qu'il n'y a personne d'autre dans cette maison ! Ordonna-t-il

Immédiatement la créature disparu avant de revenir deux minutes plus tard

- Un homme est entrain de soulager sa vessie à l'arrière mais Taurus n'a vu personne d'autre maître Theodorus.

Le Haut-conseiller leva son regard mauvais en direction de Juliet avant de disparaître. Cinq minutes plus tard un corps allongé à l'horizontal flottant à hauteur des yeux, passa au travers de ce qui restait de la porte d'entrée précédant de très peu le Haut-Conseiller qui la baguette pointé sur lui,  le dirigeait. L'homme essayait en vain de se libérer de sa prison invisible sans y parvenir lorsque soudain, il tomba rudement sur le sol. Sans avoir le temps de réagir des chaînes s'enroulèrent autour de son corps et le maintint à son tour prisonnier.

- Encore là toi ?! Fit Theodorus à l'adresse de l’elfe de maison sur lequel il jeta un regard mauvais.

La créature ne se le fit pas dire deux fois et disparu immédiatement. Le politicien se tourna en direction de ses prisonniers et lança quelques sort qui empêcherait toute intrusion. Il n’y avait plus désormais que Juliet, lui, et leurs 4 victimes qui se trouvaient désormais à leur merci. Une fois chose faite, il s'avança parmi ses victimes tout en faisant taper sa baguette magique dans la paume de sa main, tel un professeur fort mécontent.

- Je dois avouer que vous êtes parvenus à me surprendre or ce n’est pas donné à tout le monde. Réussir à pénétrer dans Boston même sans vous faire prendre est déjà un exploit en soi mais alors réussir à pénétrer dans ma propriété en parvenant à éviter mes pièges, vous, de vulgaires moldus, c’est du jamais vu. Même des sorciers confirmés n’ont jamais réussi à aller aussi loin, j’ai hâte que vous m’expliquiez comment vous êtes parvenu à accomplir un tel prodige. D’ailleurs, si Boston vous a plu, attendez que l’on vous fasse une visite privée du Boston moldu, fit-il en lançant un regard de connivence à sa nièce, je ne doute pas que vous allez adorer. A présent j’aimerais connaître le nom de vos complices, je parle du traître, de ce sorcier qui vous a aidé à déjouer tous nos pièges.

Alors qu’il s’apprêtait en retirer ce qui servait de bâillon à l’une de ses victimes, il réalisa que l’homme qui se trouvait immobilisé au sol ne cessait de se tortiller pour essayer d’attirer son attention. Baissant son regard sur lui, Theodorus pointa sa baguette magique sur la chaîne qui entravait la bouche de son prisonnier et le rendait muet

- Je... je vous jure que je ne suis pas avec eux ! Je ne les connais pas… je fais du camping juste à coté, je pensais pas que s’était occupé,
pleurnicha-t-il alors que des larmes de terreur inondait déjà ses joues

Theodorus s’accroupit à ses cotés tout en plongeant son regard dans le sien puis, il fit mine de réfléchir avec intensité à ses paroles

- Tu n’es pas avec eux ? Tu me le promets ? Cela signifie donc que… tu n’es pas un pro-moldu ?

- Un pro… ?!!! S’exclama-t-il choqué en se tournant en direction des 3 autres hommes avant de se tourner à nouveau vers l’homme qui détenait sa vie entre ses mains. Non, non je vous l’jure, je n’ai rien à voir avec tout ça

- Et si je te libère tu ne parleras de tout cela à personne naturellement… ?

L’homme jura vivement de garder le secret, apercevant un maigre espoir de pouvoir sortir vivant de cet enfer apparaître. Toujours plongé dans une intense réflexion, Theodorus se releva finalement avant de pointer sa baguette sur son prisonnier. Ce dernier, craignant finalement sa dernière heure arriver, se mit à paniquer et ferma les yeux très fortement mais à sa grande surprise, il sentit ses liens disparaître. Ouvrant les yeux, il réalisa qu’il était libéré. Sa réaction ne se fit pas attendre, il se releva vivement, jeta un regard reconnaissant sur Theodorus puis Juliet avant de bredouiller un merci et de filer en direction de la sortie sans demander son reste. Il ne fit pas deux pas qu’un sort l’atteignit en pleine poitrine.

- Sectumsempra

Telle une marionnette à laquelle on venait de couper les fils, le jeune homme s’écroula sur le plancher de la bâtisse. S’avança tranquillement vers sa victime qui haletait en respirant difficilement, Theodorus l’observait baigner dans une marre de sang.  Blessé mortellement, l’homme se vidait très rapidement de son liquide vitale causé par les profondes entailles qui couvraient désormais son dos et sa poitrine comme si une bête sauvage aux griffes acérés venait de l’attaquer. S’accroupissant à nouveau à ses cotés, Theodorus observa sa victime d’un air navré

- Je suis vraiment désolé que tu te sois retrouvé mêlé à ça, fit-il mielleusement avec hypocrisie, tout est de leur faute, mais ne t’inquiète pas dans quelques minutes tout sera terminé. Tu peux m’être reconnaissant, dans ton malheur saches que tu as la chance de bénéficier d’une mort rapide et bien moins douloureuse que ce qui attend ces pitoyables cafards, fit-il en se relevant en fixant ses prochaines victimes d’un air sadique. Vous vous en êtes pris à moi et à ma famille… vous pensiez vraiment vous en tirer aussi facilement ? Leur demanda-t-il sur un ton menaçant. Vous allez vite comprendre votre erreur… Ne vous inquiétez pas, rajouta-t-il dans un sourire sadique, nous n’avons pas l’intention de vous tuer

Se tournant vers Juliet avec un sourire chaleureux, il l’invita à s’approcher pour le rejoindre.

- Et si tu t’amusais un peu, fit-il à l’intention de Juliet. Honneur aux dames




   
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Juliet Yaxley
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MessageSujet: Re: Hunt you down, eat you alive ღ Theodorus   Hunt you down, eat you alive ღ Theodorus Empty11.02.17 3:18



   
Hunt you down, eat you alive
   
ft. Théodorus Washington & Juliet Yaxley

   

Les images dansaient dans sa tête, se bousculaient, s'emmêlaient. Juliet avait grandement amélioré son emprise sur ses visions depuis les deniers mois, en partie grâce à ce pésent inestimable qui ne quittait jamais son cou, mais elle n'était toujours pas capable de toujours tout établir avec précision ce qui les étoiles tentaient de lui murmurer. Elle avait donc expliquer à son précieux oncle la teneur exacte de ce qu'elle avait vu : L'endroit même où étaient leur assaillant. Elle n'avait par contre pas la moindre idée du lieux où il se trouvait et pas le moindre repère sur lequel se fier pour y parvenir. Elle n'avait rien... Du moins rien qu'elle n'avait réalisé détenir. Travaillant ensemble, ils ne mirent pas de temps avant de quitter l'enceinte de la demeure Washington afin de rejoindre un lieu paumé perdu au fond des bois.

La bâtisse à moitié dégringolées dans laquelle ils s'étaient réfugiés se dressait devant eux et Juliet trépignait d'impatience telle une enfant ayant mangé beaucoup trop de sucre. Tournant son regard vers son oncle afin de voir si le petit plans qu'ils s'étaient imaginés tenaient toujours, son sourire s’agrandit et elle se mordillait légèrement la lèvre en voyant la folie vengeresse qui brillait dans ses iris sombres. Fermant les yeux quelques instant en sentant ses douces lèvres se poser contre son front, la lueur qui les illuminaient lorsqu'elle les ouvraient de nouveau était plus vive que jamais. La main contre sa baguette, elle le laissait passer le premier et le suivrait de près, suivant l'ordre silencieux qu'il lui donnait et lançant un sort contre l'un des ennemis qui le frappa de plein fouet. Satisfaite de son petit succès, elle ne pouvait s'empêcher de ricaner. Les combats de sortilèges n'avaient jamais été ce qu'elle préférait et elle était bien heureuse qu'ils n'aient pas à en arriver là. S'approchant de la maison en gambadant légèrement derrière son oncle, sa baguette qui jouait doucement entre ses doigts. Se servant de la porte pour se cacher, elle attendit quelques secondes avant de pénétrer à son tour.

Taurus était déjà là lorsqu'elle entrait et patiemment, elle attendit sans faire de bruit qu'ils reviennent pour leur assurer le degré de sécurité du taudis. De savoir qu'un seul homme était présent en dehors de ceux qui étaient attachés et c'est pourquoi lorsqu'elle croisa le regard de Théodorus, Juliet ne fit qu'un petit signe de tête lui confirmant qu'elle avait compris et qu'elle allait s'assurer que leur joujoux ne bougent pas le temps qu'il aille chercher la dernière pièce du jeu. Jetant un coup d'oeil en direction de la porte, une petite moue incertaine sur le visage, Juliet trépignait légèrement avant de s'approcher de leur assaillants. Le bruit de ses talons claquait contre le bois à moitié pourris et elle s'arrêtait devant le premier d'entre eux, se penchant d'abord pour caresser sa joue avec une douceur toute particulière. Se relevant sans perdre son sourire, elle déplaçait l'aiguille fine de son talon vers les doigts de se dernier qui reposaient contre le sol quelques centimètres plus loin. Le voyant s'agiter et tenter de se libérer de son emprise, elle pesait de sa force surprenante pour sa si frêle carrure et éclatait de rire en entendant le cri tortueux de l'homme dont l'un des doigts se faisaient briser à un point tel qu'il en était désormais presque déchiqueté. Voyant du coin de l'oeil que le quatrième corps se joignait à la partie, elle reculait et délaissait son jouet le temps que la pièce manquante se déposent violemment près d'eux.

Silencieuse, son regard dévorait son oncle des yeux. Ce n'était pas un secret, Juliet avait toujours eu un petit quelque chose pour les hommes autoritaires et puissants... Tout ceci lui donnait soif de sang et de torture. Elle savait par contre qu'elle ne devait pas être trop dure... du moins pas avec les quatre.. car ils détenaient des informations dont ils avaient besoin et elle avait bien l'intention de leur donner envie de la dévoiler. Après tout, elle allait les faire souffrir à un peu tel qu'ils allaient rêver de mourir et ça... c'était terriblement excitant ! Laissant toujours son oncle mener la danse, elle dut se retenir de rire en voyant que le pauvre homme qui s'était retrouvé au mauvais endroit au mauvais moment croyait qu'il allait véritablement avoir une chance de s'en sortir. Comme s'ils allaient croire un inconnu ! Curieuse, elle le regardait partir et laissait son regarda aller et venir entre lui et Théodorus, se demandant ce qu'il pouvait bien avoir en tête. Une chasse peut-être ? Sectumsempra Un simple sort puis un corps qui s'effondre, une mare de sang qui se dépend... Il était vrai qu'il se sentait assez miséricordieux aujourd'hui car ils auraient pu lui faire tellement pire... Juliet savait qu'il était un innocent, elle pouvait presque entendre la voix de son père qui la grondait et lui disait que de continue ferait d'elle une méchante fille et pourtant... pourtant elle goutait au plaisir d'être vilaine et cette cruauté lui procurait une douce ivresse dont elle ne parvenait plus à se passer.

Sentant le regard de son oncle se poser sur elle, Juliet relevait ses yeux et les ancraient aux siens, oubliant par le fait même les fantômes de son passé, se concentrant uniquement sur tous les plaisirs que lui promettait son futur. Ils allaient souffrir si longuement avant de mourir et en plus de ça, ils allaient leur permettre de découvrir l'identité de la vermine infestant Boston qui avait fait la terrible erreur de dévoiler des informations à leur sujet. Voyant son geste si invitant, elle s'approchait de lui de sa démarche légèrement dansante avant de s'immobiliser si près de lui que son corps frôlait presque le sien. Maintenant qu'elle était certaine de pouvoir s'amuser sans mettre sa bébé chéri en danger, elle était complètement exaltée à l'idée de pouvoir ouvrir le bal... Approchant ses lèvres de l'oreille de son oncle, elle se laissait emporter par le moment et la léchait légèrement pendant que l'homme à leur pieds rendait son denier souffle.

« Laissons jouer la musique. »

Et quelle musique ! Son regard jouet et enflammé ne quittait pas celui de l'homme alors qu'elle se reculait, se retournant uniquement lorsqu'elle serait proche du premier d'entre eux, celui que sa gourmandise avait légèrement abimée un peu plus tôt.  

« C'est très simple » Commençait-elle de sa voix chantante « Tant et aussi longtemps que vous serez de vilains chiens... vous serez punis. Devenez gentils et dociles et vous aurez une récompense. »

Une récompense qui serait sans aucun doute lié à la rapidité de leur mort... Ou pas... Car en vérité cela dépendrait sans aucun doute de son humeur, mais surtout de celle de son oncle et à dire vrai, ni un ni l'autre n'avait envie de faire preuve de la moindre clémence avec ce qu'ils étaient passé près de leur faire. Saisissant sa baguette, elle lançait un sort sur l'un des couteaux de la cuisine qu'elle attrapa lorsqu'il arriva à sa hauteur. Jouant habillement avec ce dernier, Juliet avait toujours particulièrement apprécié les méthodes plus directe pour faire souffrir. Un nouveau coup de baguette, et la veste ainsi que le t-shirt que portait son jouet du moment se défaisait en lambeaux qui se déposaient partout autour de lui. Prenant place par dessus lui, elle rangeait sa baguette et s'assoyait contre le bas de son ventre. Le couteau de cuisine surement très mal affilé continuait de tournoyer entre ses doigts avec une habileté qui trahissait son habitude.

« Oncle Théo vous a posé une question... Et j'ai toujours beaucoup aimé dessiner... Je vais donc me pratiquer un peu sur ton torse et ton ventre en attendant patiemment que ta langue se délie et nous dévoile qui vous a ainsi informé sur nous et sur Boston. »

Plantant la pointe du couteau sur le haut de son pectorale, la lame s'enfonçait difficilement dans la peau et bien que la coupure était assez superficielle pour commencer, Juliet devait utiliser une certaine force pour qu'elle la perce. Les gémissements étouffés de souffrance se firent entendre et la jeune femme commença à chantonner en respectant le rythme avant de le déballonner au cas où il souhaiterait dire quelque chose d’intéressant. Des larmes commençaient à couler sur les joues de l'homme lorsqu'elle se décidait à arrêter la fleur qu'elle avait presque terminé de compléter.

« Celui-là n'est pas très bavard... Je crois qu'il rêve que l'on l'amène avec nous en voyage dans le Boston Moldu que tu leurs a promis... Peut-être que l'un de ses amis se montrerait plus... coopératif ?»

Se relevant, elle marchait quelques pas en direction d'une petite table sur lequel elle déposait le couteau qui avait su la distraire pendant cet avant-goût de ce qu'elle leur réservait. Caressant doucement son ventre rond avec une tendresse inouïe, elle retournait auprès de son oncle et s'arrêtait à quelques centimètres de lui.

« Je crois bien que c'est ton tour... Quel jouet préfères-tu ? Comme ça nous en auront chacun un et le dernier... On le partageras. »

Le regard de Juliet brillait d'un amusement nullement contraint.


   

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Theodorus A. Washington
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MessageSujet: Re: Hunt you down, eat you alive ღ Theodorus   Hunt you down, eat you alive ღ Theodorus Empty19.05.17 22:33


 

La vengeance est le plaisir des Dieux



Il y avait dans le regard de Juliet cette lueur si particulière de folie, procurée par le seul plaisir malsain de faire souffrir auquel se mêlait l’excitation que lui assurait la perspective de torturer. L’image de la jeune femme virginale et réservée qu’il avait longtemps connu était en train de voler en éclat, pour sa plus grande satisfaction. A  son contact, Juliet laissait enfin libre cours à sa véritable personnalité, à son véritable moi, à ce qu’elle était réellement et que Victor Yaxley avait si longtemps cherché à museler, en vain. « Chassez le naturel il revient au galop » disait le dicton, il n’y avait rien de plus vrai. On n’échappait pas à ce que l’on était,  à sa véritable nature. Yaxley père avait fait tout ce qui était en son pouvoir pour la modeler en un idéale qu’il désirait mais qui n’existait pas, du moins surement pas quand on possédait dans son sang les gênes mélangés des Yaxley, Washington et Hopkins.
A ses côtés, Juliet se découvrait peu à peu et nul ne doute que ça lui réussissait. Il la voyait s’épanouir et gagner en assurance. Sa grossesse jouait probablement un rôle non négligeable dans son épanouissement actuel et ce renouveau mais ce n’était pas tout. Avec lui, elle pouvait s’exprimer librement, sans honte ni crainte d’être jugé. Avec lui, il n’y avait plus de bien ou du mal. Peu leur importait que certaines personnes souffraient de leurs décisions, de toute manière quoi qu’on fasse on n’emportait jamais l’unanimité. De ce fait, l’essentiel n’était-il donc pas de se satisfaire en priorité ? La société voulait les faire rentrer dans le moule du politiquement correct afin de ne pas heurter la sensibilité de certaines catégories de population que ce fusse pour de stupides raisons d’éthiques, de races, de sexes, de religions de classes sociales ou dieu sait quoi d’autres encore. Juliet, à l'image de sa mère, possédait un côté extrêmement sombre et c’était justement ce côté-là que, contrairement à lui, Victor n’était jamais parvenu à maitriser. Il avait cherché à faire taire cet aspect de sa personnalité au lieu de l’accepter, en faisant cela, il n’avait fait que l’accentuer pour finir par la rendre incontrôlable.  Il avait commis cette erreur avec Éléandra et comme un âne qui n’avait strictement rien apprit de ses erreurs, s’apprêtait à récidiver une nouvelle fois avec sa fille. Heureusement pour elle, Juliet n’était pas sa mère et elle avait su prendre une décision difficile mais ô combien vitale pour elle en s’éloignant à jamais de cet homme, qui était un véritable frein à son épanouissement personnel et à cet enfant à naître.  
Un sourire malsain s’était affiché sur son visage lorsque son regard s’était posé sur la main ensanglantée de ce maudit rat. De toute évidence, sa nièce ne l’avait pas attendu pour ouvrir le bal et à en juger par l’état de son doigt qui ne tenait plus à grand-chose, l’échauffement était annonciateur de belles promesses pour la suite.  

Il y avait quelque chose de terriblement sensuel et excitant de la voir se déplacer ainsi vers lui avec tant d’assurance et de cruauté dans son regard, pour lui murmurer ensuite des paroles avant-coureur d’un doux supplice à venir pour leurs victimes. De toute évidence, elle comme lui, avaient les mêmes gouts musicaux. L’observant se déplacer le pas léger et légèrement dansant, elle se dirigea vers sa première victime, celle qu’elle avait déjà un peu abîmé durant son absence. Le regard pétillant, savourant le spectacle qu’elle lui offrait, Théodorus croisa les bras sur sa poitrine tout en prenant confortablement appui contre une vieille table branlante afin de mieux profiter de la représentation qui allait se dérouler sous ses yeux avec en maitresse de cérémonie, sa divine nièce. Un petit sourire se dessina sur ses lèvres en l’entendant conseiller à ce chien de se montrer gentil et docile. En temps normal c’était effectivement tout à leur intérêt mais cette fois…. Théodorus voulait leur faire payer leur affront. Non seulement ces repoussants vermisseaux étaient parvenus à pénétrer sur leur territoire mais pire que tout, dans sa propriété pourtant réputé imprenable car truffé de pièges mortels pour qui pénétrait chez lui avec des pulsions meurtrières. Comment avaient-ils su ? Qui le leur avait dit ? Cela ne pouvait qu’être un sorcier. Seul un sorcier appartenant à son cercle de proche avait pu les aider à passer outre ces pièges. Qui ? C’était bien ce qu’il comptait découvrir. Fort heureusement personne n’avait eu vent de cette attaque dont lui et Juliet avaient été victimes et nul ne savait ce qui s’était passé. Non seulement sa réputation était intacte mais surtout, ils allaient pouvoir châtier personnellement ceux qui étaient passé bien prêt de leur ôter la vie, à eux, mais également à l’enfant que Juliet portait en son sein. Si Théo était d’humeur particulièrement cruelle et sadique il n’osait imaginer ce que devait éprouver sa nièce doublement concerné par cet attentat manqué. Intrigué et se demandant ce qu’elle sort elle réservait à sa victime, le Haut-conseiller observa avec intérêt la sorcière s’armer d’un couteau de cuisine aussi sale que mal aiguisé ce qui signifiait d’autant plus douloureux pour celui qui allait goûter à sa lame. Avec dextérité, la jeune femme fit virevolter l’arme entre ses doigts. Un l’aide d’un sort, la victime toute désignée se retrouva torse nu, ce qui lui inspira une idée pour la suite des événements. Scrutant la sorcière, son regard de prédateur glissa sur les courbes on ne peut plus tentatrice de la jeune femme qu’il trouvait terriblement sexy, ainsi assise à califourchon sur sa proie toute désignée. Humectant ses lèvres avec sa langue, il ferma les yeux pour profiter pleinement de la douce plainte que Juliet fit naitre chez sa victime au fur et à mesure que la lame de son couteau traçait son chemin dans sa chair. Si l’homme avait bien tenté de prime abord d’étouffer ses cris, cela ne dura pas bien longtemps car très vite la douleur se fit crescendo lui rendant impossible de taire la moindre plainte face à son supplice. Une fausse note vint cependant perturber ce concerto pourtant si doux à ses oreilles jusqu’à présent. Comme pour s’en assurer, Thédorus ouvrit un œil, puis le second en réalisant qu’il n’avait pas rêvé. Un sanglot ?! Ces durs à cuir de terroristes qui se croyaient supérieur à eux se mettaient à pleurer comme des enfants ? Voilà qui était des plus décevants, ces moldus n’avaient donc aucune résistance à la souffrance ? Comment des êtres aussi insignifiants étaient-ils parvenus à s’infiltrer jusque dans sa demeure et à les blesser ?!! Semblant tout aussi déçue que lui par tant de lâcheté et de faiblesse, Juliet se tourna dans sa direction pour l’inviter à s’amuser un peu à son tour et qui sait, à délier quelques langues. S’approchant de sa nièce, il se pencha sur le torse de sa victime pour observa la fleur que la jeune femme avait dessiné désormais teinté de ce rouge carmin.

- Tu es très doué, fit-il avec admiration avant de lui tendre la main pour l’aider à se relever.  

Tel un amateur d’art, il observa avec intérêt cet amas de viande repoussante qui avait été lacéré avec un soin particulier jusqu’à ce qu’il sente la présence de la jeune femme derrière lui. Un sourire malsain apparut sur ses lèvres lorsqu’elle l’invita à prendre la relève. Un sourire qui se fit carnassier dès lors qu’il fut question de ce partager la dernière vermine…
Se relevant, il passa sa main sur son menton et fit mine de réfléchir désignant tour à tour les deux dernières victimes avec son index accusateur

- Toi ? Ou alors toi ? Mmmh non, je n’arrive décidément pas à choisir… on va faire autrement… Un, deux, trois, ce sera toi.  Ouuuh l’heureux gagnant ! Fit-il en lui offrant un immense sourire découvrant une rangée de dents parfaites, mais avant….

D’un geste rempli de souplesse, maniant sa baguette comme un chef d’orchestre, les trois meurtriers ratés, toujours ligotés et immobilisés, se sentir être redressé par des fils invisibles comme s’ils n’étaient que de vulgaires marionnettes dépourvues de volonté. Debout face à lui, Théodorus se plut à s'avancer parmi eux, à rester dans leur dos dans l'unique but de les terroriser un peu plus. Décidé à les faire souffrir tour à tour mais surtout à les humilier jusqu’au bout, d’un simple nouveau mouvement de poignet, leur bourreau fit disparaitre absolument tous les vêtements de leurs victimes d’un coup de baguette magique, les laissant ainsi à leur vue, aussi nu que le jour de leur naissance.

- Voilà qui est beaucoup mieux fit-il sans se priver de bien glisser son regard sur chacune de ses trois victimes. Désormais, vos vies ne vous appartiennent plus, elle est à nous et nous allons en disposer à notre guise. Plus vous nous résisterez et plus vous connaitrez la souffrance et croyez-moi, ce n'est pas un vain mot, je ne vous laisserai pas le moindre répit, soyez en sur. Vous avez attenté à nos vies, ça c'était une première erreur, mais pire que tout, vous nous avez raté, et ça, croyez-moi, vous allez le regretter jusqu'à votre dernier souffle.... s'il arrive un jour. Bien, et si nous commencions, fit-il à sa victime toute désignée, je suis impatient de tester ton seuil de résistance

Sans laisser la moindre chance à sa proie de formuler la moindre supplique, Théodorus commença à lancer un premier sort qui balança sa victime d'un mur à l'autre de droite à gauche et du sol au plafond, tel un cognard fou qui allait s'écraser contre tous les obstacles qu'il croisait et qui modifiait indifféremment sa trajectoire. Puis, il enchaina avec un second sort sans laisser à sa victime le moindre répit, lui broyant tour à tour chacun de ses membres. Le hurlement de cet homme, ponctués de suppliques auxquels Théodorus resta totalement insensible, se répéta sans fin tel un sinistre échos à vous glacer les coeurs même les plus endurcis.
Dire que Théodorus aimait faire le mal pour le mal était complétement faux, il faisait le mal pour lui, pour assouvir son propre plaisir ainsi que son besoin de vengeance. Ces chiens avaient osé s'en prendre à lui ? Ils avaient cherché à le tuer ? Lui mais également sa nièce et l'enfant qu'elle portait ?
Nu, recroquevillé sur le sol dans une marre de sang, l'homme sanglota de désespoir. Il voulait que ça s'arrête, et qu'on le délivre de toute cette souffrance et pour cela, il était prêt à leur révéler tout ce qu'ils voudraient.
Se penchant au-dessus de lui, Théodorus engouffra sa main dans sa chevelure hirsute pour l'obliger à lever la tête et le contraindre à plonger son regard dans le sien.

- Parles ! Dis-moi à présent comment êtes-vous parvenus à entrer dans Boston sans vous faire capturer ? Comment avait vous su pour les pièges protégeant ma propriété ? Qui vous a renseigné ? Je veux tout savoir et il est préférable pour toi que tes réponses me satisfassent.



 
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Juliet Yaxley
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MessageSujet: Re: Hunt you down, eat you alive ღ Theodorus   Hunt you down, eat you alive ღ Theodorus Empty10.09.17 5:34



   
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Se mordillant légèrement la lèvre, le regard de Juliet suivait le mouvement des doigts de son oncle, passant d'une victime à l'autre, curieuse de voir sur laquelle allait se porter son choix. Portant une main vers son visage, elle jouait de ses doigts contre sa bouche et sa joue en entendant son hésitation puis, son rire mélodieux se rependait dans la pièce en voyant sur qui s'était porté son choix. Elle avait tellement hâte de voir ce dont il était capable ! De découvrir cette facette de lui dont il ne se cachait pas avec elle, mais qu'elle n'avait encore jamais pu observer véritablement. Des marionnettes... Elle voulait apprendre elle aussi ! Toutes ces choses qu'elle pourrait faire en connaissant se maléfice... toutes ses pièces de théâtre qu'elle pourrait monter au domaine Washington avec des poupées humaines qu'elle se procurerait au fil du temps..

« M'apprendras-tu à faire ça ? »

Le regard de Juliet brillait de mille feu devant toutes les possibilités de se sortilège dont on l'avait toujours tenu éloigné, délibérément ou non. Se taisant après cette demande qu'elle n'avait pu retenir, elle observait avec attention le spectacle qui se déroulait devant elle. Malgré son intérêt, elle ne put s'empêcher de sursauté et ricaner en les voyant complètement dénudé, se cachant les yeux presque instinctivement avant d'entrouvrir les doigts et de finalement retirer complètement sa main. Cette dernière toujours dans les airs, elle ne pouvait s'empêcher de se moquer de la virilité peu développée de l'un d'entre eux en exagérant sa faible taille avec ses doigts. Juliet n'avait vu qu'un seul homme nu dans sa vie, c'était la première fois que son regard se retrouvait confronté à un cors autre que son père et c'était encore plus nouveaux qu'il n'y avait en cet instant aucune attirance. Uniquement beaucoup d'humiliation.

En voyant les mouvements si naturels et gracieux de la baguette de son oncle dans les airs, Juliet ne pouvait s'empêcher de danser légèrement. Une danse qui entrait en parfait contraste avec la force qui amenait le corps de la victime d'un obstacle à l'autre. Dès les premiers cris de la vermine, la femme enceinte fermait les yeux et levait la tête vers le plafond comme si elle était en transe. Juliet aurait aimé que cette musique se prolonge encore pendant des heures, mais l'homme abdiqua et un grognement fut sa seule réaction. C'était ce qu'ils voulaient, mais elle prenait goût à toute cette douleur. Cessant doucement ses mouvement, elle faisait quelques pas en direction de Théodorus et du jouet qui avait choisit d'être sage. L'homme répondait d'une voix faible, ses mots étaient légèrement décousus et sa respiration difficile rendait le tout encore plus laborieux.

«... All...ié... ... plan... piti..é....»

L'homme n'avait clairement pas encore compris que la pitié était bien loin d'être la force de ses deux tortionaires. Juliet ignorait cette demande comme si elle n'avait jamais été prononcé et se concentrait sur les bribes d'informations qu'il se décidait enfin à leur communiquer. Il y avait longtemps qu'ils avaient devinés que ces moldus avaient eu de l'aide de la part de quelqu'un qui connaissait Boston, de l'entendre le leur confirmait de les aidait en rien à avancer.

« C'est pas comme ça que tu auras droit à une gâterie. Qui est ton maître sale chien. »

L'homme secouait la tête, gémissait, se plaignait. Juliet avait la mauvaise impression que l'homme derrière cette aide provenant de l'intérieur avait assuré des arrières. Heureusement, elle adorait jouer à la cachette.

« Pas.... Pas nom...»

Haussant les épaules, Juliet franchissait les derniers centimètres la séparant de son oncle. Approchant son visage de son oreille, elle faisait claquer ses dents comme si elle allait mordre avant de prendre la parole cette fois dirigé uniquement vers lui.

«  Il n'est pas très utile... mais il dit vrai. Trick or treat ? »

Elle avait retrouvé sa voix chantante en posant cette question, son regard dirigé entièrement vers son oncle, attendant avec impatience sa réponse.

   

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Theodorus A. Washington
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MessageSujet: Re: Hunt you down, eat you alive ღ Theodorus   Hunt you down, eat you alive ღ Theodorus Empty07.10.17 17:46



La vengeance est le plaisir des Dieux



Theodorus était un sorcier aussi populaire que redouté. Il savait s'entourer, charmer, donner la sensation à un être totalement insignifiant d'être quelqu'un d'important, alors qu'en réalité, il méprisait absolument tout le monde et très peu de personne était parvenu jusqu'à présent à susciter de son intérêt, à vrai dire elles se comptaient sur les doigts d'une main. Il y avait eu bien évidemment Amélia Poppins une femme de pouvoir qui l'avait fasciné pendant bien longtemps et qu'il rêvait de détruire. Elle s'était avérée un adversaire à la hauteur de ses espérances mais une fois vaincu elle n'avait pu suscité chez lui le moindre intérêt. Il y avait également eu Charles Hopkins, son oncle qui l'avait prit sous son aile en s'imaginant pouvoir le manipuler mais il n'en fut rien, cependant l'homme était un adversaire d'une autre trempe qu'Amélia, plus coriace et dangereux. Enfin la magnifique et machiavélique Régina qui était presque parvenue à le coincer et à lui ravir sa place de Haut-Conseiller pour l'offrir à son insignifiant rejeton, la fille de Yaxley. Theodorus n'arrivait toujours pas à savoir si le comportement de Régina n'était que de la bêtise inspiré par un repoussant amour filiale ou si en tant que matriarche de la puissante famille Hopkins tout ce qui l'intéressait était l'obtention du pouvoir pour les siens, même si son héritière tenait plus du Fléreur que de la Chimère.
Et puis il y avait eut Eleandra. Eleandra, sa soeur regrettée qui avait tenu une place particulière dans son existence et qu'il avait aimé plus que de raison au point de la laisser partir, une décision qu'il avait tôt fait de regretter amèrement quelques années plus tard. Il n'avait porté que très peu d'intérêt à sa fille Juliet, fruit de ses amours avec un autre que lui, pourtant aujourd'hui Juliet commençait à prendre une place importante dans son existence, une place qu'il n'avait pas prévu et dont il prenait de plus en plus conscience, tout particulièrement lorsqu'ils partageaient quelque chose d'aussi fort et intime qu'en ce moment. Seule Régina connaissait depuis peu son attirance pour la souffrance d'autrui, la manipulation ou la violence à l'état brut jusque dans l'acte sexuel. A vrai dire, aussi surprenant que celui puisse paraître, il avait l'impression d'avoir trouvé en Regina une soeur jumelle aussi retors et machiavélique que lui. Le sang des Hopkins qui coulait dans leurs veines ne devait pas être étranger à cet état de fait. Et désormais, il y avait Juliet. Juliet avec laquelle il entretenait un rapport encore très différent. Elle dégageait une innocence pure et envoutante qui n'était pas sans lui rappeler Eléandra. Son rire cristallin qui résonnait dans cet endroit sordide dans laquelle sa grâce et sa beauté apportait une fraicheur décalée qui entrait violemment en contraste ce lieu putride et malsain. Cependant, naïf celui qui se fierait à cette candeur toute enfantine qu'elle dégageait car tout comme les enfants, Juliet lui avait montré qu'elle était capable de se montrer cruelle et qu'elle prenait goût à laisser ainsi libre court à ses plus viles instincts. Libéré des carcans moralisateurs dans lequel son père avait tenté de l'enfermer, Juliet se redécouvrait, prenant conscience que la femme que son père avait tenté de créer n'existait pas, à ses côtés Juliet apprenait à se redécouvrir. Libéré des entraves paternel, Juliet se découvrait un véritable intérêt pour certaines pratiques de la magie qu'elle ne connaissait pas encore et le moins que l'on puisse dire c'est qu'elle avait soif de connaissance. Son envie de pratiquer, elle aussi, le sort qui permettait de transformer ses victimes en de vulgaires pantins était là pour le prouver et contrairement à Victor, il était dans les projets de Theodorus de l'aider à développer ce don qu'il savait inné en elle. D'un simple sourire de connivence il lui fit comprendre qu'il comptait bien s'en charger, mais pour l'heure il avait d'autres chats à fouetter, et en l'occurrence, ces sacs à puces allaient amèrement regretter d'avoir mis les pieds là où ils n'auraient jamais du les mettre..

La fascination pouvait se lire dans le regard de Juliet à chaque fois qu'il lançait un sort plus cruel que le précédent. Il y avait là quelque chose de terriblement excitant tant pour elle, que pour lui. Il aurait pu ainsi continuer inlassablement pendant des heures, faisant monter les hurlements de sa victimes dans les graves puis monter dans les aiguës alors que Juliet virevoltait avec grâce au rythme de ce chant du cygne mais Theodorus avait d'autre projet pour sa victime et si lui faire regretter le jour de sa naissance était l'un d'entre eux ce qu'il souhaitait avant tout c'était de découvrir qui était le fils de chien qui avait osé introduire ces assassins jusqu'à Baston ! Qui était celui qui les avait si bien renseigné au point non seulement de leur permettre de trouver et attaquer chacun des représentants du Conseil des Mages ainsi que leurs familles mais également de déjouer tous les pièges mortels qui étaient parsemés dans le domaine des Washington. Et s'il avait quelques noms en tête, il était impatient d'entendre résonner celui du seul et véritable coupable dans l'une de ses maudites bouches mais visiblement hormis pleurnicher et les supplier de leur accorder leur pitié, ces moldus ne savaient pas dire grand choses d'autres.

- Articules quand tu parles !
Tonna le Haut Conseiller en lui assénant un violent coup de pied dans le visage de sa victime, ce qui eut pour seul effet de le faire fondre en larmes.

Le sorcier sentait qu'il était entrain de perdre dangereusement patience. S'amuser était une chose mais Theodorus se lassait très vite des choses en générale et des gens en particulier, sans oublier que faire chou blanc dans ses investigations était un autre sujet d'exaspération. Accroupit auprès de l'homme, Juliet qui semblait avoir deviner que sa patience s'amenuisait chercha à lui apporter son aide en tentant à son tour d'obtenir les réponses à ses questions mais tout ce qu'elle obtint de son supplicié fut qu'il ignorait son identité et qu'il n'avait pas de nom à leur offrir. Alors qu'elle l'interrogeait et que Theodorus l'observait faire d'un oeil intéressé il décela en elle quelque chose de sensuellement dangereux et d'irrésistiblement attirant davantage encore lorsqu'elle approcha son visage du sien pour lui dire ce qu'il avait lui-même comprit. Elle avait raison, ce veracrasse ne savait rien, sans quoi, il y a bien longtemps qu'il aurait parlé ! Il n'aurait pas souffert de la sorte aussi longtemps pour protéger quelqu'un, il était beaucoup trop faible pour ça. Alors qu'elle lui posait la question que tous les enfants posait à Halloween, Theodorus lui offrit un sourire carnassier, laissant découvrir une rangée de dents parfaites.

- Je pense qu'il a gagné une récompense : le droit de nous accompagner dans un lieu qu'il n'aurait jamais eut l'opportunité de découvrir sans nous

Comprenant qu'il s'agissait de tout sauf d'une réelle récompense, l'homme se mit à sangloter, redoutant déjà ce qu'on pourrait lui faire d'encore pire que ce qu'il venait de subir. D'un geste très théâtrale, Theodorus tonna un puissant « suivant », tout en tendant son bras en direction du dernier larron, comme s'il l'invitait à faire quelque pas de danse en sa compagnie. Terrifié et déjà en larmes, l'homme tenta vainement de reculer pour installer une ridicule distance entre lui et son bourreau. Ses fesses raclait le sol en bois usé et poussiéreux nimbé désormais de sang, tout en secouant la tête de manière négative

- Non, non je vous en prie, je vous assure que je ne sais rien. Je ne connais pas son nom vous devez me croire, je vous en conjure, ne me faites pas de mal.

- Très bien, fit Theodorus en s'accroupissant à sa hauteur. Après tout, c'est vrai nous ne sommes pas obligé d'en arriver là, fit-il en tournant légèrement sa tête par-dessus de son épaule en direction des deux loques humaines qui gisaient sur le sol avant de reposer son regard sur le troisième assassin de bas étage. Vous ne connaissez pas son nom mais est-ce que vous l'avez déjà rencontré ?

Theodorus avait usé d'un ton rassurant, poli et compatissant envers la pauvre créature dont les battements de coeur ne cessaient de s'affoler dans sa poitrine. L'homme savait qu'il ne devait surtout pas contrarier ces deux fous, et la cause de leur combat ne lui avait jamais paru aussi juste qu'en cet instant. Ils avaient peut-être échoué mais il espérait que les autres groupe avaient eu plus de chance qu'eux, que tous les autres membres de ce foutu Conseil des Mages, leurs familles sans oublier cette sale pute d'Imane Khazen appartenaient définitivement au passé. Quand à lui, il n'espérait absolument pas s'en sortir, il savait et avait vu trop de choses pour que ces deux psychopathes acceptent de lui rendre sa liberté et il était prêt à mourir pour sa cause qu'il défendait mais pas comme ça. Il ne voulait surtout pas mourir dans d'atroces souffrances. Acquiesçant d'un timide signe de tête à sa question, il vit Washington lui adresser un sourire des plus inquiétant, un sourire carnassier qui aurait fait trembler les plus aguerrit des soldats. Puis le sorcier se tourna tranquillement en direction de la jeune femme

- Tu veux bien nous trouver un bocal ? Je pense que nous aurons des souvenirs à observer dans la pensine en rentrant toute à l'heure mais pour se faire il nous faut quelque chose pour le transporter. En attendant....


Theodorus s'était à nouveau tourné en direction de sa victime et cette fois-ci une lueur ampli de sadisme traversa son regard alors que son sourire se déformait en un rictus malveillant. Et là, l'homme su. Il comprit que malgré sa collaboration, lui aussi, tout comme ses complices, allait connaître d'atroces souffrances. Dans un dernier élan de désespoir, il plongea sur un verre pour le briser et se poignarder avec en espérant ainsi échapper à ses bourreaux mais la magie fut plus rapide, et à nouveau des fils invisibles l'empêchèrent de bouger. Suspendu dans le vide, les jambes et les bras écartés, à la vu et à la merci de tous l'homme se mit à sangloter en implorant la pitié et en leur rappelant qu'il les avait aidé. Tournant autour de lui, comme un prédateur ayant piégé sa proie, prêt à bondir sur lui à n'importe quel moment pour le déchiqueter sans merci, Theodorus admit qu'il avait raison

- C'est vrai, mais pour le moment on ne peut pas savoir si ta collaboration fut d'une aide précieuse ou non, et du reste, ça n'exclue en rien ton acte impardonnable. Tu crois que parce que tu as peur de souffrir et de mourir, que tu consens à nous apporter quelques renseignements, on va oublier pour autant que tu fait parti de ceux qui ont essayé d'attenter à nos vies ? A la mienne mais également à la sienne et celle de l'enfant qu'elle porte ? Grossière erreur ! Pour toi ce sera... Trick.

Theodorus leva sa baguette et lança sur le triste individu un sortilège de découpe qui trancha net ses deux bras et ses deux jambes faisant hurler sa victime à la mort jusqu'à ce qu'il n'eut plus de voix. Il ne résonnait plus à présent que de légers sanglots provenant des trois victimes dont les corps gisaient dans un véritable bain de sang. C'était un spectacle à la fois fascinant et absolument répugnant. Le doux parfum de Juliet qui se trouvait à ses côté le tira de son observation, Theodorus se pencha alors en direction de l'homme-tronc dont le visage n'était plus qu'un gigantesque torrent de larmes. Pointant sa baguette magique en direction de la tête de sa victime ce dernier, en apercevant l'objet de ses souffrances s'approcher de lui, eut un inutile mouvement de recul tout en hurlant de terreur. Un hurlement qui fini par s'étouffer en de faibles sanglots lorsqu'il prit conscience qu'il n'y avait rien de douloureux dans cette opération, bien qu'il continuait de redouter la moindre douleur. Les fils blanc de ses souvenirs, enchevêtré les uns dans les autre et enveloppé dans un halo lumineux s'entourèrent autour de la baguette de Thedorus qui déposa ensuite le précieux contenu dans le bocal que détenait précieusement Juliet. Puis il se tourna vers elle tout en lui adressant un sourire

- Et si on déposait nos ordures avant de rentrer ?


Pour faire disparaître des corps, des témoins ou des preuves, il n'existait nul autre endroit plus sur et approprié que celui du Boston moldu. La seule idée de voir le reste de ces moldus finir dans l'estomac de certaines créatures aussi dangereuses que voraces qui arracheraient et dépèceraient leurs chaires jusqu'à ce qu'il n'en reste plus la plus petite miette était un spectacle qu'il était impatient de faire découvrir à sa nièce qui semblait avoir hérité du même goût du sang que lui. Après avoir rassemblé leurs « ordures », les deux sorciers transplanèrent au coeur même du Boston interdit. Celui des fantômes et de la désolation qui respirait la mort où que l'on pose le regard. Prenant la main de Juliet, il l'invita à prendre place dans une tribune qui dominait, à l'abri de la moindre menace, espèce d'arène aménagé au coeur de laquelle gisaient les 3 prisonniers, et leurs restes.

- Tu vois Juliet, les Grecs avaient le théâtre, et les romains,... le cirque. Profites du spectacle.


Levant sa baguette magique, le sorcier jeta un sort et aussitôt les 4 lourdes portes qui encadraient le coeur de cette nouvelle arène s'ouvrirent, laissant apparaître une profonde obscurité d'où s'échappait des bruits inquiétants....


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Juliet Yaxley
Juliet Yaxley
You know I'm no good

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ϟ Métier : Femme à tout faire ϟ Âge : 27 ans ϟ Race et sang : Sorcière de sang mêlé ϟ Particularité : Voyante, les étoiles lui disent certain de vos secrèts. ϟ Statut civil : Célibataire

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MessageSujet: Re: Hunt you down, eat you alive ღ Theodorus   Hunt you down, eat you alive ღ Theodorus Empty05.01.18 1:07



   
Hunt you down, eat you alive
   
ft. Théodorus Washington & Juliet Yaxley

   

 Les yeux de Juliet brillaient de milles feux, complètement émerveillée par cette facette du monde qui lui correspondait parfaitement bien même si on l'en avait tenue éloignée pendant si longtemps. Cette souffrance, ces cris, ces pleurs... cette étincelle si particulière de peur que l'on pouvait lire dans leur regard. Elle avait déjà tué avant, son père l'y autorisant en encadrant le tout dans de précis barème. Pourtant cette fois c'était différent, cette torture était à des milles de ce qu'elle avait déjà connu et lui permettait de s'épanouir comme jamais. De découvrir les délicieux plaisirs qu'ils lui apportaient. S'approchant de la victime et de son oncle, Juliet était prête à récompenser autant qu'à punir. Elle n’attendait qu'une seule petite confirmation pour le faire et elle ne tarda pas à venir. Theodorus laissait toutefois planer un mystère qu'elle ne pouvait pas résister à découvrir, elle n'avait jamais été patiente, encore moins lorsqu'elle savait qu'elle allait sans aucun doute avoir droit à une nouvelle surprise de la part du haut conseiller. Jouant de ses doigts avec une excitation qu'elle ne tentait même pas de contenir, Juliet trépignait d'impatience.

« Je veux voir ce lieu !!! Allons-y maintenant !»

Ce n'était toutefois pas l'heure d'aller directement à la boutique de friandise et Juliet resta silencieuse alors que l'autre homme vivait un "interrogatoire" à son tour. Il était vrai que les réponses étaient hautement importante à obtenir s'ils voulaient avancer dans cette vengeance et pourtant, Juliet aurait aimé qu'ils se dépêchent de l'avouer afin qu'ils puissent passer à autre chose ! Malheureusement, ils étaient bien conscient que ce ne serait pas nécessairement meilleur pour eux.

Juliet avait envie de rire alors que son oncle jouait à bon cop bad cop. Laissant entrevoir une jolie fin à ses moins que rien afin de les convaincre de parler, mais une parle d'elle savait que leur sort était déjà fixé depuis longtemps. Du moins elle l'espérait car en cet instant elle n'avait pas envie d'être clémente. Ce n'était même plus la rancune qui parlait, c'était un besoin de plaisir malsain des plus puissant. Si la jeune femme était restée dans l'ombre depuis les dernières minutes, elle revint rapidement près de son oncle dès qu'il lui fit une demande des plus intéressantes.

« Soirée cinéma ? Je nous trouve ça alors !!  »

De sa démarche dansante, Juliet quittait la pièce afin de rejoindre la cuisine dans laquelle elle espérait pouvoir retrouver le moindre récipient qui soit toujours hermétique. Utilisant sa baguette pour ouvrir la moindre porte qu'elle croisait avec un certain fracas, s'appliquant néanmoins avec délicatesse lorsqu'il était le temps de trouver le Saint Graal.  La jeune femme écoutait néanmoins avec attention tout ce qui se déroulait derrière elle. Un sourire était gravé sur ses lèvres alors qu'elle l'entendait faire comprendre à ces moins que rien qu'ils avaient été de parfaits idiots de simplement croire pendant un instant qu'ils auraient droit à leur vie, à un pardon. Comme si lorsqu'ils étaient entré sur le domaine pour le tuer, ils auraient eu la moindre compassion s'ils le leur avait demandé. Posant la main sur un petit contenant qui ferait parfaitement l'affaire, Juliet se précipita vers la scène lorsqu'elle entendu Trick retentir, prête à découvrir ce qu'il avait prévu. S'approchant de lui rapidement, quelques éclats de sang vinrent décorer ses vêtements telle une peinture abstraite qu'elle trouvait particulièrement magnifique. La vision de l'homme toutefois était l'une des rares choses qui la dégoûtait légèrement et pourtant, elle était beaucoup plus résistante que son père à la vision de ce genre d'horreur. Elle avait d'ailleurs sans doute eu à faire à bien plus sanglant, mais il y avait quelque chose qui la dégoutait particulièrement, peut-être était-ce les effets de sa grossesses. Certaines femmes enceintes avaient des sensibilités particulière à certaines odeurs, elle n'était pas si différente. Elle était seulement sensibles à la vision d'homme tronc plutôt que celle de la cuisson de la viande !

Croisant le regard de Théodorus, Juliet tendit vers lui le récipient qui rapidement vint accueillir les souvenirs qu'ils se feraient un plaisir de découvrir un peu plus tard. Ils allaient enfin savoir quel sorcier avait pu se rabaisser au point de les aider à les attaquer. La jeune femme savait qu'il ne devait pas être sans importance, le fleuriste du coin n'ayant clairement pas les connaissances nécessaire pour leur permettre e se faufiler aussi facilement. Non leur ennemi avait un rôle bien plus important et elle était même presque certain qu'ils le connaissaient assez bien. Juliet se doutait que la souffrance qui attendait ce traite serait sans aucun doute bien pire que celle qu'ils avaient affligés à ces sous-hommes.

« Je te suis. »

Aidant sans les ménagers à faire d'eux les ordures qu'ils étaient véritablement, Juliet s'était ensuite accrochée à son oncle prête à retrouver le Boston qu'elle aimait de plus en plus. La jeune femme n'avait encore jamais mis les pieds dans le Boston abandonné si bien qu'elle eut besoin de quelques instants avant de pleinement réaliser où elle se trouvait. D'un regard curieux, elle observait l'arène qui s'étendait devant elle, devinant facilement que les prisonniers n'y seraient pas seuls bien longtemps. Ce n'est qu'en sentant sa main venir prendre la sienne qu'elle prit place sur l'un des sièges.

« Est-ce toi qui ai conçu tout ça ? »

Émerveillée comme une enfant que l'on apportait pour la première fois assister à Disney on ice, Juliet tremblait d'excitation alors que les portes s'ouvraient et que des sons qu'elle ne parvenait pas à associer à des créatures se faisaient entendre. Avancée jusqu'au bout de son siège comme si cela lui permettait de voir plus loin, elle ne parvint pas à rester assise et fini par ses relever dès que la première créature aussi monstrueuse que mystérieuse fit son apparition. Laissant échapper un rire, Juliet prit toutefois peur lorsque cette dernière ouvrit la bouche pour laisser échapper un cri étrange à glacer le sang. Prenant place assise contre les cuisses de son oncle, se blottissant contre lui par sécurité, Juliet ne détournait toutefois pas le regard du spectacle.

« Il peut tenter de nous faire du mal ? »

Elle savait bien que seule contre eux, elle ne parviendrait pas à survire bien longtemps et c'était sans doute pourquoi rien au monde n'aurait pu la fait lâcher son emprise autour de lui. Peu de temps ensuite, deux créatures identiques venaient la rejoindre, prêt à foncer sur les prisonniers encore vivants, mais qui n'avaient absolument aucune chance contre ses créatures. Cernant les prisonnier afin qu'ils ne puissent même pas tenter de les échapper, d'autres créatures différentes firent alors leur apparition. Cette fois, leur apparence semblait des plus inoffensive et tellement minuscule lorsqu'on les comparait aux massives premières. Se faufilant d'ailleurs au travers d'eux, les prisonniers ne semblèrent d'abord pas leur donner d'attention jusqu'à ce que ces dernières ne s'enroule autour de leurs chevilles, les faisant hurler de douleur.

« Comment elles s'appellent ?»

De par sa position, Juliet avait tout d'une jeune femme effrayée et pourtant, plus la surprise de l'inconnu s'éloignait d'elle et plus elle calmait la force de son étreinte. La plus fringante des ordures se relevait alors, parvenant à se défaire de la première créature et fonçant en direction du mur le plus près pour tenter d'y grimper, mais il avait à peine le temps de l'atteindre que l'un des mastodonte fonçait sur lui, comme s'il n'attendait que ça pour pouvoir enfin passer à l'attaquer. Un coup de patte puissant heurtait l'ordure et le faisait reculer de plusieurs mettre, se tortillant au sol suite à la douleur de l'impact alors que la créature le rejoignait rapidement, enfonçant ses dent pour la première fois de ce spectacle dans les chair humaine de l'homme qui ne supporta pas longuement cette nouvelle souffrance et qui tomba raide mort quelques secondes plus tard.
   

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