On règles vos problèmes.. Et les nôtres !

Le client avec lequel ils avaient rendez-vous était arrivé à la dernière minute ce qui avait eu pour effet d'énerver Juliet avant même que cette rencontre ne commence et ce n'était pas ça le comble. Ses paroles résonnaient dans sa tête et faisait siler ses oreilles. Elle détestait cette horrible sensation, Juliet avait un mauvais pressentiment. Elle tentait de le tolérer, ne voulant pas montrer ce qu'une vision provoquait en elle devant cet inconnu. Elle voulait que le moins de gens possible connaissent l’existence de son don. Après un long moment a supporter la douleur, sans dire un mot, elle quitta la salle dans laquelle ils rencontraient se client et se dirigea vers la salle de bain où elle s'effondra par terre.

Tout était flou.. si flou. Elle aurait bien aimé que les étoiles soient là pour l'éclairer sur le sujet. Sa main droite dessinait contre le mur un rond à répétition, mais elle ne comprenait pas pourquoi. Elle perdu alors complètement contact avec la réalité. Il n'y avait que très peu de chose à comprendre dans cette vision dont elle n'arrivait pas complètement à ce souvenir, mais quelque chose était certain, ils arriverait un évènement triste s'ils tentaient de résoudre cette demande.. L'homme ne leur disait pas tout.Un long respire quitta alors les lèvres de Juliet, comme si elle pouvait enfin respirer après avoir passé de longues minutes sous l'eau.

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Victor s'était laissé aller contre le dossier de son immense fauteuil en écoutant patiemment leur potentiel client déballer ses problèmes. Il se disait victime d'une terrible injustice. Ce sorcier était victime d'une groupe d'Inquisiteurs qui l'avait chassé de chez lui. Son ex-femme avait gardé sa gamine, une enfant dont il n'était pas le père mais qu'il avait élevé comme sienne. L'enfant était une sorcière...

L'homme demandait à Victor d'organiser l'enlèvement de l'enfant pour qu'il puisse la ramener chez lui et l'élevait dans le monde auquel elle appartenait. A la fin de son discorde, le sorcier se mit à renifler et à pleurnicher. Victor parvint de justesse à retenir une grimace quand l'homme se servit de sa manche pour s'essuyer le nez. Dégoûtant.

Le regard de Victor fut attirer par le départ soudain de Juliet. Le père fronça légèrement les sourcils. Il échangea quelques mots avec l'homme pour l'identité de sa fille et son signalement. Ils parlèrent ensuite des modalités de payements et Victor rappela à son client qu'ils n'étaient pas une association caritative...

Puis il se leva et invita l'homme à patienter dans le salon, le temps que Victor et son associée prennent le temps d'étudier la recevabilité de son dossier. Yaxley se dirigea ensuite vers la salle de bain où Juliet trouvait parfois refuge. Victor ne fut pas vraiment surprise de la trouver à terre. Il s'avança et se pencha sur elle pour lui caresser les cheveux "Parle moi, Ma princesse... qu'as tu vu ?"

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Juliet reprit réellement contact avec la réalité seulement au moment où la main de son père joua dans ses cheveux. Elle tourna doucement sa tête vers, la gravité de ses visions se voyaient dans son regard. « Cet homme nous cache des choses... » Elle essayait de tout replacer dans son esprit afin de pouvoir synthétiser ce qu'elle avait vu, mais c'était tellement difficile...

Juliet approcha ses lèvres de son oreille « La petite fille. Je la vois pleurer et pleurer... » Elle se recula et le regarda dans les yeux. « Elle n'est pas amoureuse et elle est si jeune...» Juliet savait que la relation entre son père et elle était immorale au yeux de plusieurs, mais elle n'avait rien a voir avec celle qu'elle voyait. Elle n'avait pas tout le détail, mais elle savait ce qui arriverait de l’innocence de la petite fille.

Elle se releva doucement aidée par son père et se blottit dans ses bras. « Cet homme est vilain... Je le sens...» Après chaque vision, Juliet était prise d'un terrible mal de tête, c'est pourquoi elle blotti son nez dans son cou afin de fermer les yeux et profiter de deux minutes de noirceaur pour faire partir la douleur. Lorsqu'elle se senti liberer, elle réouvrit les yeux. « Allons voir notre client.»

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Victor écouta sa fille lui traduire la vision qu'elle avait eu en présence de leur potentiel client. Yaxley avait parfaitement confiance à les capacités extraordinaire de sa fille. Sous ses airs volatiles, elle comprenait bien plus de choses que la plupart des gens dit normaux.

Le père fronça les sourcils quand il comprit les insinuations dans sa fille et il laissa échapper une petite grimace de dégoût en apprenant qu'un pédophile avait posé ses fesses sur l'un des fauteuils hors de prix de son bureau.

Juliet vint trouver refuge dans les bras de Victor et ce dernier le serra doucement contre lui. Il déposa un douce baiser sur sa tempe et massa doucement l'une de tempes de son enfant pour l'aider à faire passer la migraine. Sa pauvre princesse souffrait toujours après le genre d'épreuves. Le mensonge lui provoquait toujours d'atroces douleurs. Rien que pour cela, il avait envie d'enfoncer la tête du pédophile dans un chaudron d'huile de foie de dragon brûlante...

Il aide sa fille à se remettre sur ses pieds. "Oui... je crois que nous allons refuser ce dossier..." lança Victor avant de quitter la pièce en compagnie de sa fille. Il prit son bras de la plus délicate des façons pour l'emmener dans le petit salon où leur client les attendait. Il ouvrit la porte et entra, Juliet toujours a son bras...

L'homme se tourna vers eux et lança sur un ton désespéré : "Alors, vous allez m'aider" Victor ne répondit pas. Il s'arrêta devant lui, debout et caresser doucement la main de Juliet autour de son bras. Il observait l'homme en silence, perdu dans ses pensées.

"Vous allez m'aider oui ou non ?!" lança l'homme plus fortement.

Victor prit la main de la fille et l'embrassa tendrement avant de se tourner vers elle "Tue le..."

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Elle prit appuie contre le bras de son père alors qu'elle marchait en direction du petit salon devant le bureau. Elle avait toujours adorée la douceur qu'il utilisait lorsqu'il prenait soin d'elle. Elle était perturbée devant ses images qu'elle avait vu et elle était en colère contre l'homme. Elle avait toujours détesté les gens faisant du mal à des personnes douce et innocentes.

Juliet ignora complètement l'homme lorsqu'il leur demanda s'ils allaient l'aider. Elle portait son regard sur son père et le regardait réfléchir. Elle savait qu'il prenait toujours la meilleure décision possible. Elle lui sourit pendant qu'il déposait un doux baiser contre sa main. Le tuer ? Elle devait d'ailleurs lui faire comprendre les mauvaises choses qu'il avait fait. « Je vais l'aider » Juliet déposait un baiser contre la joue de son père alors que la client semblait heureux et soulagé en croyant que Juliet venait de refuser la demande de son père, la réalité était pourtant tout autre et Victor qui connaissait sa fille mieux que personne devait se douter qu'elle avait quelque chose derrière la tête.

Elle fit un signe avec ses mains, comme si elle lançait un sort, afin de demander à son père de verrouiller toutes les issues. Juliet avait toujours préféré la méthode manuelle à la magique et elle trainait sa baguette seulement en cas d'urgence. Arrivée devant lui, son regard ne laissait transparaitre aucune émotion jusqu'au moment où elle le prit à la gorge et enfonça légèrement ses ongles dans la peau tendre. « Dit nous la vrai raison pour laquelle tu veux la petite fille... » Elle déssera son étreinte, lui laissant une chance de dire la vérité. « Plus vite vous direz la vérité et plus je serai gentille.. » Par gentille, Juliet voulait surtout dire qu'elle le tuerait rapidement. La mort était la seule option.

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L'homme tenta de tirer sa baguette de sa manche quand Juliet l'attrapa par le cou et enfonça ses ongles dans ses chairs flasques mais Victor fut beaucoup plus rapide. D'un mouvement de main, il attira la baguette à lui et prit le temps de verrouiller tous les issues.

Victor se désintéressa de la scène pour aller vers l'armoire qui contenait sa boite à tabac et sa pipe. Il n'appréciait pas vraiment la vue du sang. Il entreprit donc de bourrer sa pipe favorite en écoutant d'une oreille discrète l'homme affirmer qu'il ne voulait aucun mal à la petite fille.

"Mauvais réponse..." murmura le père de Juliette en claquant une allumette et en enflammant le tabac dans la réserve. L'odeur lui chatouilla délicieusement les narines alors qu'il tirait une première bouffées. Il attendit derrière lui, l'homme hurlé de douleur et grimaça légèrement.

"Ne joue pas trop longtemps ma chérie... tu sais que les cris d'agonies donnent mal à la tête à Papa..." lança-t-il en rangeant soigneusement sa boite à tabac dans l'armoire...

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Juliet enfonça fortement son genou contre le sexe de l'homme et elle poussa de plus en plus, tout en le maintenant fermement assis avec ses mains. Juliet avait toujours eu une force physique particulièrement surprenante pour sa petite taille. Elle poussa et poussa encore avec son genou jusqu'à ce qu'elle soit certaine de l'avoir fait souffrir assez. Elle dût s'arrêter en entendant son père lui demander de ne pas trop s'amuser avec son jouet comme il n'aimait pas les cris. « Mais j'ai envie de le faire souffrir lentement.. si lentement. » Elle se tourna vers son père et attendit qu'il détourne le regard de l'armoir. « J'aime cette musique, elle me rend si créative.... Et si je te promet de bien te soigner, me laisses-tu jouer encore un peu ? » Juliet gardait secrète la relation avec son père, mais l'homme près d'elle serait bientôt mort alors qu'il comprenne ou non n'avait pas d'importance pour elle.

« Je repose une nouvelle fois la question, mais d'une autre façon, vouliez-vous lui faire du mal... Dites oui ou non. » L'homme répondit non immédiatement, par contre cette fois il rajouta un mais. Juliet ne lui laissa pas le temps de préciser avant serrer sa mâchoire de sa main droite avant d'enfoncer l'un de ses ongles dans son œil gauche. « Vous n'avez pas encore compris les règles... »

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Le père échangea un long regard avec sa fille et finit par sourire légèrement et hocher la tête "Y-a-t-il seulement quelque chose que je te refuse ?" lança-t-il simplement avant de prendre place sur l'un des fauteuil à disposition. Il tira quelques bouffées de tabac en regardant la scène entre l'homme et sa fille.

"Quelle règle du jeu, espèce de folle furieuse ! relâchez moi maintenant ! ou je vous dénoncerai ! J'ai des amis très haut placés !

Victir se désintéressa à nouveau de la conversation et t'attrapa un magazine spécialisé dans la métamorphose, une de ses matière favorite. Il se lança un sort de bouche oreille pour plonger dans une passionnante étude sur la métamorphose microbienne.

L'homme continuait à se faire torturer par sa fille sans qu'il n'en soit davantage dérangé. L'article faisait près de huit pages, il avait donc de quoi s'occuper en entendant que Juliet finit par se lasser de son nouveau jouet.

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Un immense sourire était dessiné contre le visage de la jeune femme alors que son père lui donnait la permission de jouer avec le vilain client aussi longtemps qu'elle le voudrait. Elle lui adressa un petit clin d’œil avant de reporter sa complète attention sur sa victime.

Alors qu'il lui faisait son petit sermon sur ses amis haut placés Juliet roula des yeux. « Petite précision... Vous aviez des amis hauts placés. » Juliet se mit à rire et elle s'éloigna afin d'aller chercher un petit couteau dans une tablea un peu plus loins, elle entendit l'homme courir vers la fenêtre la plus proche croyant qu'ils avaient était assez idiots pour la laisser débarré. Elle s'approcha donc à nouveau de lui. « Allez... Avouez que vous désiriez de très vilaine chose. » Devant ce nouveau refus et ses insultes, elle utilisa son couteau pour rompre la peau derrière les genou, empêchant l'homme de marcher, il s’effondra donc près d'elle a plein ventre et Juliet s'assit contre son dos, jouant avec son couteau. « Et moi qui avait espoir de vous entendre regretter vos pensées ignobles... » Elle se mit a tracer des dessins à l'aide de son couteau contre le corps de l'homme en le maintenant fermement en place. Après environ une heure de souffrance, il finit par avouer sa pédophilie et Juliet étira sa tête afin de lui trancher la gorge. Elle vint saisir l'une des couvertes foncées du bureau et la disposa contre le corps et les traces de sang pour éviter à son père une telle vision. Après s'être essuyée les mains, elle s'avança vers lui, se plaça derrière et caressa son torse avec ses mains. Elle se doutait bien qu'il ne devait rien entendre alors qu'elle attendit qu'il conjure le sort avant de parler. « Je crois que j'ai sali le tapis... Mais maintenant je suis toute à toi. »

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Victor avait le temps de terminer son magazine que Juliet vint derrière lui pour se fondre contre son torse. Le père sourit légèrement et envoya valser la revue sur la table basse avant de se tourner vers sa fille. Il rompit le sort, retrouvant l'usage de ses oreilles. Son sourire s'agrandit devant cette promesse et Victor attira la jeune femme pour qu'elle prenne place sur ses genoux.

Il jeta un coup d'oeil au corps masqué par la couverte et en quelques coups de baguette magique, il réduit la dépouille à la simple os et nettoya le sang. Il fit venir à lui le tobias et le regarda un instant. "Rosemary apprécia cette petite attention" La dite Rosemary était leur chienne, un american staff caramel...

Yaxley laissa glisser l'os sur le sol et revient sur sa fille. Il caressa doucement sa joue et murmura : "je suis désolé que cet homme t'ait faite souffris Amour..." Victor se entait responsable, il n'aimait pas faire mal à son bébé, même indirectement. "Je suis désolé. Mais il ne fera plus jamais de mal à aucun enfant. Tu as rendu la justice ma Princesse, je suis tellement fier de toi."

Victor se pencha et capture doucement les lèvres de sa fille...  

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Confortablement installée sur les genou de son père, ses bras autour de son cou, elle regardait en souriant l'os que son père comptait donné a leur chienne. Juliet avait toujours beaucoup aimé cet animal et elle se réjouissait de chaque présent qui lui était offert.

Ce n'est qu'en sentant la main de son père sur sa joue qu'elle détourna l'attention du présent pour revenir vers son père. Elle lui adressait un sourire légèrement lasse, avoir un tel don lui procurait peut-être des douleurs,mais il était également très utile et c'est pourquoi elle parvenait à le tolérer. Un grand sourire apparu alors lorsqu'il lui dit qu'il était fier qu'elle ait rendu la justice. Elle s'avança légèrement alors qu'ils scellent le tout par un baiser. L'une des mains qui était derrière son cou remonta jusqu'à sa joue qu'elle caressait sans pour autant rompre le baiser. Elle profita des douces sensations qu'il lui apportait un long moment avant de finalement le rompre. « Et puis il a souffert encore plus qu'il ma fait souffrir. » Juliet colla son front contre celui de son père et ferma les yeux. S'en prendre a quelqu'un l'aidait toujours à diminuer ses migraines et elle avait maintenant complètement disparue.

Elle se rapellait bien de la promesse qu'elle avait fait à son père près d'une heure plus tôt.« Merci de m'avoir laissé jouer... Qu'aimerais-tu que je fasse pour toi ? » Elle décolla doucement son front afin de pouvoir le regarder dans les yeux.

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Juliet n'était pas une femme comme les autres. Victor l'avait compris depuis plusieurs années déjà. Sa fille aimait faire souffrir les gens. Elle était, ce que les moldus férus de psychiatrie appellerait une sociopathe. Juliet tenait cela de sa mère Éléandra Washington. Yaxley ne connaissait pas plus timbré que cette famille ! Cela ne dérangeait en rien Victor. Au contraire, il adorait Éléandra comme il était fou de Juliet. Elles étaient son type de femmes...

A la différence que Victor avait pris le soin d'élever Juliet convenablement. Il lui avait appris à tirer parti de ses particularités et à s'en servir pour de bonnes et grandes choses. Il était parvenu à lui faire comprendre la différence entre le bien et le mal (&fin entre sa vision personnelle du bien et du mal, qu'importe !)

Victor regarda sa fille dans les yeux et un doux sourire se dessina sur ses lèvres. "J'ai envie d'une chanson" susurra-t-il doucement. Il leva sa main gauche et entreprit de caresser doucement le sain droit de Juliet d'abord à travers le vêtement puis il défit quelques boutons de son trop chaste décolleté et laissa ses doigts se faufiler à travers ce dernier. Elle ne portait aucun soutien gorge et il sourit.  

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Juliet plongeait son regard dans celui de son père alors qu'il lui demandait une chanson. Elle ne parvenait pas a se lasser de ces moments dans ses bras et elle ne pouvait qu'être comblée de la voir lui proposer. Il y a quelques années de cela, elle faisait tout pour qu'il lui offre un tel privilège et à chaque fois c'était sans succès, par contre depuis les trois dernières années, leur petite histoire était enfin devenue sérieuse et Juliet se sentait vivre complètement.

Elle l'aida a déboutonner d'autre bouton afin de lui faciliter la tâche et elle se rapprocha légèrement avant de s'asseoir a une endroit beaucoup plus stratégique. « J'ai aussi envie de chanter avec toi... » Cette fois-ci, ce fut Juliet qui approcha ses lèvres et vint capturer celle de son père pour un baiser beaucoup plus langoureux. Elle faisait de petit mouvement de bassin question de le stimuler encore plus. Elle avait beau avoir été particulièrement maladroite au départ, dès que son père lui apprenait quelque chose une fois, elle s'en rappelait et savait désormais habilement les mettres en pratique. « Fermons le bureau.. » Elle entreprit alors de lui enlever sa veste.

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Juliet faisait onduler son jeune corps contre le sien et lui se sentait pousser des ailes. Victor captura à nouveau les lèvres de sa fille alors qu'elle entreprenait de lui retenir son épais veste.

Sans arrêter sans exploration buccale, le sorcier prit sa baguette et d'un mouvement du poignets, il ferma la porte de leur office. La pancarte se retourna invitant leurs clients potentiels à revenir durant un autre moment. Il rompit le baiser un mordillant légèrement la lèvre inférieure de Juliet.

Victor lança à la jeune femme un regard intense et brûlant de désir. Doucement, il fit remonter la robe de Juliet le long de ses cuisses pour ensuite la faire passer au dessus de sa tête. Le vêtement en chiffon tomba sur le sol alors que Yaxley contempla la nudité de sa fille. "Tu es belle..." susurra-t-il en laissant ses mains parcourir le dos et la sain nus. "J'ai envie de toi..." avoua-t-il franchement et sans la moindre honte. Il y avait longtemps qu'il ne ressentait plus aucune culpabilité à l'idée de prendre possession du corps magnifique de sa fille... Il l'aimait et voulait lui faire l'amour. Qu'avait-il de plus sain et de lus honnête dans ce monde ?

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Des frissons la parcourent alors qu'elle plongeait son regard dans celui de son père. Ils se désiraient mutuellement et l'intensité du regard de ce dernier était bien loin de la laisser de glace. « Je suis juste à toi. » Elle aimait tant l'entendre la complimenter, son père était sans aucun doute l'homme le plus séduisant à ses yeux. Il n'était le seul à désirer ce moment de plaisir. Juliet approcha sa bouche de son oreille qu'elle embrassait avant de murmurer. « J'ai envie que tu me fasse l'amour.» Juliet adorait chanter de concert avec son père.

Après lui avoir fait par de ses plus intenses désirs, elle vint saisir la baguette de son père question de se faciliter la tâche, heureusement cette dernière l'écoutait lorsqu'ils avaient les même désir, magiquement, les vêtements de Victor s'envolèrent et vinrent retrouver les siens. Ils étaient désormais complètement égaux et leur corps nus se touchaient. Elle se mit a embrasser son coup et elle descendit de lui afin de se retrouver a genou, après un regard coquin, elle vint stimuler sa virilité avec ses mains avant d'utiliser sa bouche. Elle fit de va et viens de plus en plus rapide tout en caressant sa cuisse grâce à sa main libre. Elle n'arrêta que lorsqu'il eut atteint le plaisir.