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 Not to bad beeing in Hospital - Elisabeth (et qui veut se joindre ♥)

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MessageSujet: Not to bad beeing in Hospital - Elisabeth (et qui veut se joindre ♥)   Not to bad beeing in Hospital - Elisabeth (et qui veut se joindre ♥) Empty01.09.16 3:43

Northwestern Memorial Hospital
Delphine Johns, Elisabeth Brown ...
Est-il mal de tirer profit de notre propre malheur ? De se servir de notre souffrance pour profiter de l'attention des autres pour une fois dans notre vie ? Probablement, mais je n'ai aucun remord...  

 
Lorsque Delphine reprit conscience, elle se souvenait à peine de tout ce qui s'était déroulé depuis son départ en ambulance. En réalité, seulement quelques flash de son arrivé à l'hôpital et de son passage sur la table d'opération lui revenait en tête. L'hôpital de Chicago était majoritairement magique, mais elle avait fort heureusement de nombreux spécialistes moldus qui avaient su soigner les importants dommage qu'avaient occasionnés la balle. Leur intervention mélangée a des potions antidouleur et coagulante lui avait très certainement sauvé la vie et elle savait qu'elle était passé bien près de ne jamais se réveiller même si cette simple idée avait de quoi lui donner le tournis.

Allongée dans son lit d'hôpital, elle laissait échapper une longue plainte et aussitôt les doigts d'Aquilla se mettaient à jouer dans ses cheveux, les caressants doucement et la calmant aussitôt. Les médecins avaient fait de l'excellent travail à son arrivé pour retirer la balle et refermer la blessure, stoppant ainsi l’hémorragie si bien qu'environ une journée après les évènements, elle pouvait déjà voir une amélioration. La douleur était toujours difficile à supporter, mais elle avait de plus en plus souvent des moments de répits... Ce qu'elle se gardait bien de dévoiler à sa famille qui pour une fois était rassemblée autour d'elle prête à répondre au moindre de ses caprices. Il était si rare qu'elle était dans cette position et elle savait qu'elle devrait en avoir honte, mais il était si bon d'avoir Aquilla ainsi pour elle seule... Et puis elle se sentait réellement très mal, ce n'était pas un mensonge, juste un besoin de leur rappeler le plus souvent possible et de profiter des avantages que cela apportait.

Complètement épuisée, elle passait le plus clair de son temps à dormir et à reprendre des forces. Les rêves que lui faisait faire ce mélange de potion et de médicament moldu - qui lui était administré dans le secret pour éviter les scènes de sa mère - lui faisaient faire des rêves particulièrement réalistes et desquels elle ne souhaitait pas se réveiller.... Comme celui où Esteban l'avait invité pour une soirée romantique absolument parfaite et pendant laquelle elle avait pu caresser son impressionnante musculature.... Et OUTCH !

Se réveillant en sursaut, elle pouvait sentir ce que les moldus appelaient une aiguille entrer dans son bras et prendre quelques goûtes de son sang. Grognant, elle lançait un regard indigné à l'un des hommes ayant assurés ses soins depuis le départ.

« Vous pourriez pas faire comme les autres et attendre que je sois réveillée ! »

Cet idiot avait réellement tout gâcher... De mauvaise humeur, elle tentait de se replonger dans son rêve sans succès et ce n'est qu'en entendant quelques coups contre sa porte qu'elle retrouva son sourire, un sourire qui s'agrandit alors que le visage d'une femme qu'elle appréciait énormément apparaissait.

« Hey bonjour. Ça me fait plaisir de te voir. »

Avançant légèrement son bras afin de tenter de lui faire un semblant d'accolade, elle ne put s'empêcher de grimacer de douleur. Elle n'était pas encore douée pour bouger sans provoquer ce genre de réaction. Alors qu'Elisabeth se reculait, un détail qu'elle n'avait pas encore apperçu lui sautait au visage. Un détail qu'elle tenait entre les mains et qui avait dequoi la faire sourire de plus belle tant elle n'en pouvait plus de la nourriture d'hôpital.

« Est-ce que ? »

Commençait-elle sans terminer, consciente que c'était terriblement malpoli. En même temps, Elisabeth n'en serait certainement pas surprise vue le nombre d'histoire que son mari avait dû lui raconter concernant son passage mouvementé à Salem...

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Elisabeth J. Brown
Elisabeth J. Brown

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ϟ Métier : Organisatrice dans l'événementiel ϟ Âge : 49 ans ϟ Race et sang : Sang-mêlé ϟ Statut civil : Marié

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ϟ Messages : 222 ϟ Date d'inscription : 30/04/2016 ϟ Disponibilité RP : 1X/semaine ϟ Célébrité : Tiffany Thiessen ϟ Crédits : PresleyCash

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MessageSujet: Re: Not to bad beeing in Hospital - Elisabeth (et qui veut se joindre ♥)   Not to bad beeing in Hospital - Elisabeth (et qui veut se joindre ♥) Empty08.09.16 12:21


   
NOT TO BAD BEEING IN HOSPITAL


The only difference between a good and a bad day is your attitude.



   Elisabeth avait été horrifiée d’apprendre par son mari tout ce que les pro-moldu avait planifié pour ce 26 juin 2030 qui avait bien faillit être le jour le plus sanglant et meurtrier qu’un attentat commis sur le sol américain ait pu connaître. Sans l’intervention de l’enquête des factions ils étaient passés près d’une épouvantable catastrophe. Non seulement en imaginant tous les morts qu’il y aurait pu avoir lors de ce sinistre 10 ème anniversaire organisé par la ville de Chicago mais surtout en imaginant ce que serait devenu leur faction si les terroristes étaient parvenus à mettre à exécution leur véritable plan qui n’était pas uniquement de tuer des milliers d’innocents mais bel et bien de détruire les fondements même de leur politique intérieur. Sans l’intervention efficace des représentants des factions toutes les personnes appartenant au Conseil des Mages Fondateurs auraient été éliminé.

Elle devait bien reconnaitre que même si elle avait émis quelques doutes en apprenant que les 4 factions du pays allaient se réunir pour mettre hors d’état de nuire les groupuscules terroristes qui avaient secoué le pays, cette équipe s’était montrée des plus efficace jusqu’à aujourd’hui. Sans eux, sans leur intervention, elle n’osait imaginer ce que cela aurait donné. Et savoir que son mari avait été exposé au danger en première ligne l’avait véritablement retourné. Une partie d’elle, aurait aimé lui demander de tout abandonner et de retourner à ses cours de potion, ce n’était pas à lui de risquer sa vie, mais elle n’en n’avait rien fait parce qu’elle savait au contraire, que face à une telle menace, ce n’était pas uniquement aux forces de l’ordre de veiller à leur protection c’était au contraire le travail de chacun d’entre eux, et bien qu’elle ne pouvait s’empêcher d’être rongée d’inquiétude pour son mari, qu’elle redoutait chaque jour qu’on vienne lui apprendre qu’il avait été gravement blessé au cours d’une de leur mission, elle était extrêmement fière de lui. Sans lui aujourd’hui, ils seraient tous terriblement meurtris.

Toutefois, on ne pouvait pas prétendre que toutes les mesures prises pour éviter ce bain sanglant furent totalement efficaces puisque l’une des premières victimes à déplorer de ces attentats ratés n’avait été autre que l’une des proches de leur famille la belle Delphine, sœur cadette d’Aquila Jones. Elle ignorait encore ce qu’il en avait été de Flora et de sa famille, du Haut-Conseiller ou de la famille Jenkins, mais elle espérait de tout cœur qu’on ne lui annoncerait pas d’autres mauvaises nouvelles. Dans son malheur, à ce qu’on lui avait raconté, la jeune femme s'en tirait bien, elle était hors de danger et ne devrait en garder aucune séquelle de cette mésaventure. Armée de ses cookies fait maison, Elisabeth avait quitté Boston afin de se rendre à Chicago pour venir visiter la jeune sorcière qui était la joie de vivre et l’espièglerie incarnée. Savoir que ces terroristes s’en étaient pris à elle la retournait. Chassant son trouble pour laisser place à un visage souriant, Elisabeth frappa légèrement deux petits coups à la porte afin de ne pas la réveiller au cas où elle se reposerait avant de pénétrer dans la chambre aseptisée. Un magnifique sourire qu’elle connaissait bien l’accueillit aussitôt ce qui la fit sourire sincèrement pour de vraie cette fois.

- On dirait que j’arrive au bon moment, constata-t-elle en réalisant qu'il n'y avait personne dans la petite chambre

Refermant la porte derrière elle, elle s''apprêtait à déposer le le tuperrware qu'elle tenait en main sur la table qui se trouvait contre le mur mais constatant que la jeune femme lui ouvrait son bras pour l'enlacer, elle ne résista pas et la laissa l'accueillir dans ses bras en prenant bien soin de ne pas lui faire plus de mal qu'elle n'en n'avait déjà. Comme s'était bon de pouvoir la serrer contre elle. Doucement elle se recula et croisa avec amusement le regard si plein de convoitise et de gourmandise de Delphine qui s'était posé sur les friandises qu'elle tenait en main.

- Oui, une amie… oh mais tu la connais, se reprit-elle, Anahia m'a demandé de lui préparer quelques cookies au chocolat mais j'en ai beaucoup trop fait comme tu peux le voir. Ça me brise le coeur de songer qu'ils ne seraient pas mangé alors j'ai pensé à toi. Est-ce que tu veux bien m'aider à m'en débarrasser ? Lui demanda-t-elle faussement désespérée comme si Delphine était son seule et unique espoir. Et surtout, comme si sa demande était un véritable sacrifice

Un sourire de connivence s’agrandit et Elisabeth fit disparaître d'un coup de baguette magique la serviette qui recouvrait les douceurs qu'elle lui avait apporté et qu'elle avait en réalité cuisiné tout spécialement pour elle, juste après s'être occupé de la fournée destiné à Anahia. Laissant la jeune femme s'emparer d'un de ses cookies, Elisabeth resta debout à ses cotés tout en lui caressant légèrement les mèches qui lui tombaient sur le front. Elle tenta de dissimuler l'émotion que lui procurait l’immense soulagement qu'elle ressentait de la voir ainsi, aussi souriante.

- Sean te souhaite un bon rétablissement et il m'a chargé de t'embrasser bien fort.

Aussitôt, elle se pencha vers elle et lui déposa un baiser sur le font avant de lui sourire navrée qu'elle ait eut à subir une telle épreuve

- Comment te sens-tu ?Ce que ces moldus ont fait… ils n'ont vraiment aucune limite, [/i]lâcha-t-elle vibrante de colère. Comment ont-ils osé… ? Tu as eut tellement de chance. Est-ce que tu veux en parler ? Qu'est-ce qui s'est passé au juste ?



   
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MessageSujet: Re: Not to bad beeing in Hospital - Elisabeth (et qui veut se joindre ♥)   Not to bad beeing in Hospital - Elisabeth (et qui veut se joindre ♥) Empty28.09.16 4:39

Northwestern Memorial Hospital
Delphine Johns, Elisabeth Brown ...
Est-il mal de tirer profit de notre propre malheur ? De se servir de notre souffrance pour profiter de l'attention des autres pour une fois dans notre vie ? Probablement, mais je n'ai aucun remord...  

 

« Tous les moments sont bons. Je suis contente de te voir. »

Il était vrai qu'elle était bien rarement seule entre ses quatre murs, mais cela n'enlevait rien au fait qu'Elisabeth aurait pu arriver à n'importe quel autre moment, elle aurait été tout aussi heureuse de la voir. L'avantage d'être seules, c'était qu'elle pouvait réellement prendre le temps de la remercier d'être venue la voir. Delphine avait bien l'intention d'étirer le temps de sa convalescence le plus longtemps possible, voir les gens venir la voir et lui offrir toutes les attentions étaient si agréable... Elle risquait d'avoir bien du mal à s'habituer lorsqu'elle retrouverait sa vie normale. Les yeux de Delphine déjà bien rond s'agrandir d'avantage en entendant le mot chocolat. Déjà son ventre gargouillait en sachant qu'Elisabeth avait cuisiné pour elle, maintenant qu'elle avait découvert le contenue elle n'en pouvait tout simplement plus. Une expression bien trop comblée sur le visage l'empêchait d'être véritablement crédible, mais elle décidait néanmoins de jouer le jeu.

« Je peux bien t'aider pour cette fois... Tu sais comme j'ai un grand coeur. »

Se dépêchant les lèvres en humant la douce odeur qui se dégageait du petit plat alors qu'Elisabeth faisait disparaitre la serviette, elle ne se laissait pas prier avant d'y plonger la main et de s'en emparer d'un. La simple idée de le déguster lui faisait oublier la désagréable sensation qui s'était propagée en elle lorsqu'elle avait fait se mouvement. Reprenant confortablement position dans le lit d'hôpital, elle portait le biscuit à ses lèves et prenait une bouchée, ne pouvant s'empêcher de laisser échapper une expression de satisfaction en savourant les saveurs qui venaient émerveiller ses papilles.

« T'es la meilleure. Merci beaucoup.»

Se tournant vers elle, un sourire ne quittait pas son visage alors qu'elle sentait la main d'Elisabeth caresser doucement ses cheveux. Son sourire se transforma légèrement alors qu'elle embrassait son front et bien qu'il rapetissait légèrement, on pouvait voir par sa légère moue qu'elle était sincèrement touchée.

« Remercie le de ma part s'il te plait. Ça ne changera jamais, vous êtes toujours aussi adorables. »

Delphine se rappelait encore parfaitement la première fois qu'elle avait rencontré Sean Brown. Elle avait du mal à comprendre comment il avait pu se montrer aussi patient avec elle et elle avait été réellement surprise de voir leur relation évoluer avec le temps. Après tout ce qu'il aurait fait, il aurait très bien pu la trouver insupportables, mais ce n'était pas le cas... Du moins pas tant que ça. La jeune femme avait toujours trouvé que le couple Brown était craquant. Elle ne pouvait s'empêcher d'avoir un léger pincement au coeur dès qu'elle pensait à eux car un visage lui revenait en tête aussitôt. Celui du seul homme qu'elle ait véritablement aimé jusqu'à maintenant bien qu'il ne l'apprendra jamais. Aujourd'hui elle doutait qu'elle ait un jour la chance de vivre une relation aussi épanouie que celle des Brown. Elle savait que sa famille ne la laisserait jamais épouser un homme qui ne répondait pas à leurs critères. C'était le fardeau de porter un nom comme le sien. Heureusement le fiancé n'était pas si mal et il avait des avantages.

Chassant ses pensées, elle n'avait pas l'intention d'avouer à Elisabeth qu'elle se sentait assez bien vu les circonstances. Après tout, ce n'était pas en criant haut et fort qu'on allait déjà mieux qu'elle pourrait profiter de cette attention encore longtemps. L'entendre évoquer ce moment lui serrait l'estomac bien qu'elle tentait de ne pas perdre son sourire. Elle n'avait jamais eu aussi peur et aussi mal de toute sa vie. Delphine était restée particulièrement muette à ce sujet, elle avait du mal à se repasse la scène sans en trembler d'effroi.

« Heureusement ils n'ont pas réussis.... S'ils avaient tués Aquilla.... »

La simple pensée faisait monter des larmes à ses yeux et elle prit une grande inspiration afin de tenter de stopper leur cheminement et de les empêcher de couler contre ses joues. Delphine ne pouvait imagine une vie sans son grand-frère... Si on le lui avait arraché, impossible de savoir ce qu'elle serait devenue par la suite.

« Je ne sais pas trop ce qui s'est passé... Tout ça c'est fait tellement vite et j'ai l'impression que mon cerveau bloque certains moments mais... Je me souviens de celui à qui je dois ma chance. S'il n'avait pas été là pour les empêcher de faire plus de mal, s'il n'avait pas déconcentré celui qui me visait et qu'il n'était pas venu s'assurer que je me batte jusqu'à l'arrivée des secours. Je dois mes blessures à des moldus, mais je dois ma vie à l'un d'entre eux aussi. »

Son visage était flou dans son esprit, mais elle se souvenait de son nom. Tyler. S'il y avait une chose qu'elle souhaitait faire lorsqu'elle pourrait enfin quitter cet hôpital c'était bien de le retrouver afin de pouvoir le remercier pour tout ce qu'il avait fait.

« Tout ce que je sais c'est que nous étions dehors en famille lorsqu'ils ont frappés. Je ne sais pas comment ils ont fait... Mais ils savaient qu'on était là. Ils ne faisaient pas attention aux enfants, c'est extrémistes sont des monstres et j'espère sincèrement qu'ils vont payer pour leur crime. Je suis attentivement l'affaire d'ailleurs... Enfin ce que je parviens à savoir car ils laissent filtrer si peu d'informations. Comment va Sean d'ailleurs ? »

Son ancien professeur avait été envoyé sur cette enquête dangereuse et elle espérait sincèrement que rien de grave ne lui soit arrivé et que tout ce passait bien pour lui. Approchant sa main, elle invita Elisabeth a y déposer la sienne. Delphine se doutait bien qu'il ne devait pas être plus facile pour elle de voir son mari s'éloigner autant d'un emploi sécuritaire pour être lancé dans une affaire aussi risquée.


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Elisabeth J. Brown
Elisabeth J. Brown

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MessageSujet: Re: Not to bad beeing in Hospital - Elisabeth (et qui veut se joindre ♥)   Not to bad beeing in Hospital - Elisabeth (et qui veut se joindre ♥) Empty02.11.16 21:59


NOT TO BAD BEEING IN HOSPITAL


The only difference between a good and a bad day is your attitude.



Malgré sa blessure, Delphine paraissait plus en forme qu'elle ne l'aurait préalablement imaginé. Elisabeth ignorait à quoi s'attendre en venant lui rendre visite mais elle redoutait le pire. Il n'était déjà pas évident d'apprendre que l'un de vos proches était à l'hôpital mais c'était encore plus choquant de découvrir que si elle s'y trouvait c'était uniquement parce qu'elle avait échappé de justesse à un assassinat orchestré par des moldus. Ce ne fut qu'en pénétrant dans sa chambre, alors qu'elle s'était préparée au pire en l'imaginant agoniser sur son lit d'hôpital, qu'Elisabeth sentit ce poids angoissant se retirer de ses épaules. Elle avait été soulagé de constater que la benjamine de la famille Jones ne s'en sortait pas si mal, elle avait même récupéré des couleurs et surtout, un signe qui ne trompait pas, l'appétit était là. Un immense sourire de petite fille espiègle illumina le visage de la convalescente lorsqu'elle découvrit qu'elle lui avait apporté quelques cookies, et comme on disait si justement en règle général : lorsque l'appétit était là, tout va. Elisabeth, qui avait prétexté avoir cuisiné beaucoup trop de cookies, faisait mine de compter sur Delphine pour ne pas faire de gâchis, comme si la jeune fille allait devoir faire un ultime sacrifice pour lui venir en aide. Une Delphine qui se fit un plaisir de jouer le jeu

- Je savais que je pouvais compter sur toi,
lui sourit-elle ravie

Retirant la serviette qui recouvrait son plat, elle laissa s'échapper la délicieuse odeur dégagé par les cookies fraichement sortis du four, sur lesquels Delphine se jeta en lui faisant l'honneur de se régaler. Elisabeth n'avait pu s'empêcher de froncer les sourcils de douleur en surprenant la légère grimace que la jeune femme avait laissé échapper malgré elle alors qu'elle s'installait plus confortablement sur son lit afin d'être plus à l'aise pour manger.

- Ça va ? S'enquit-elle tout en lui arrangeant ses coussins dans son dos.

Aussi loin qu'elle se souvienne, Elisabeth avait toujours eut beaucoup d'affection pour Delphine. Elle était intelligente, espiègle et pleine de vie. Avec Allison avec laquelle elle partageait beaucoup de traits communs, elles étaient un peu, à elle deux, la fille que le couple n'avait jamais pu avoir,... du moins jusqu'à présent. Passant sa main sur son ventre encore plat, Elisabeth ne pu s'empêcher de se demander si elle attendait de nouveau un garçon ou si cette fois ce serait une fille. Une partie d'elle avait honte d'être aussi heureuse d'attendre un nouvel enfant compte tenu de tout ce qu'ils avaient traversé. Cela paraissait tellement injuste pour Colin, pourtant elle ne pouvait s'empêcher d'être heureuse et d'aimer déjà cet enfant qui grandissait en elle, même si l'avenir qui se profilait à l'horizon ne semblait guère rassurant pour les générations futurs et les sorciers en particuliers...

- Je n'y manquerais, lui sourit-elle chaleureusement alors que Delphine lui faisait promettre de ne pas oublier de remercier également son époux.

Elisabeth ignorait comment Delphine parvenait à gérer le traumatisme de son agression, mais par expérience malheureusement, elle ne savait que trop, combien il était néfaste de tout garder au fond de soi. Elle avait pu le constater avec Sean mais surtout avec Colin, le père et le fils se ressemblaient beaucoup plus qu'ils ne le pensait l'un l'autre. Ils souffraient en silence, se flagellant sans cesse, pour une événement absolument tragique qu'ils ne peuvent ni l'un ni l'autre modifier. Elle aussi avait été abattu, elle aussi tout comme eux avait beaucoup pleurer la perte de son précieux petit-fils, c'était un peu comme si on lui avait arraché une partie de son âme, et cette peine, cette douleur toujours présente en elle, seul l'arrestation du coupable pourrait l'apaiser. Elle avait tenté d'obliger Sean et Colin à s'ouvrir et à accepter qu'ils n'étaient pas responsables de ce qui était arrivé, il n'y avait qu'un seul coupable et ce n'était pas eux, mais il était très difficile de leur faire entendre raison, après tout, ils n'étaient pas de la même famille pour rien. Ils avaient beau garder pour eux le font de leur penser, il n'en demeurait pas moins que celui qui pensait lui cacher quelques chose n'était pas encore né. Outre le fait que son père était psychiatre, elle avait une assez bonne perception des gens en général. Avec le premier elle avait passé une bonne partie de sa vie quand au second elle l'avait mis au monde alors s'imaginer une seule seconde qu'elle ignorait tout de leurs tourments était une grave erreur. Elle était parvenue à faire en sorte que Sean s'ouvre un peu plus mais Colin, il avait tellement de haine et de colère en lui... Elle se sentait un peu démunie face à cette rage qui le consumait

Delphine avait également était très marqué elle aussi, par son agression, son sourire si chaleureux avec disparu et un air inhabituellement grave s'était emparé de son visage d'ordinaire si mutin et insouciant. Elisabeth posa une main réconfortante sur son avant-bras tandis qu'elle partageait avec elle ce qui aurait pu arriver de pire pour Delphine durant cette attaque, qui heureusement ne s'était pas produit : la perte d'Aquilla.
Delphine était très proche de son frère et leur relation n'était d'ailleurs pas sans lui rappeler celle qui unissait Ethan et Allison. C'était un lien terriblement fort, presque unique. Elle n'osait imaginer la douleur qu'aurait la sienne s'il était arrivé quelque chose au représentant de la famille Jones, Delphine aurait eut beaucoup de mal à s'en remettre et aurait probablement perdu sa joie de vivre et cette insouciance qui la caractérisait. Si Aquilla avait péri sous leurs armes, nul doute que les pro-moldus auraient alors tué ce jour-là deux personnes au lieu d'une seule...

Elisabeth l'écouta avec toute l'attention qu'elle méritait, lui apportant de par son regard clair tout le soutient qu'elle pouvait lui apporter. Les souvenirs de Delphine étaient fragmentés. Lorsqu'elle l'évoquait, Elisabeth éprouvait comme une sensation de précipitation qui s'expliquait par le fait que tout s'était passé beaucoup trop rapidement. Aussi étrange et incompréhensible que cela puisse paraitre Delphine semblait vouloir trouver des excuses à la communauté des moldus en soulignant que si elle avait été blessé par la faute de moldus elle devait, à son sens, la vie à l'un d'entre eux. Elisabeth ne partageait absolument pas son point de vu, et à vrai dire ce constat la révulsait, mais il aurait été stupide de braquer Delphine en contredisant ses paroles, c'était bien là le meilleure moyen de laisser ses convictions s'encrer en elle.

- Ouah, fit-elle impressionnée, un homme est intervenu pour te sauver ? Tu l'avais déjà vu auparavant ? Qu'est-ce qui te fais croire qu'il s'agissait d'un moldu ? Tu as eut beaucoup de chance en tout cas, mais tu sais, celle à qui tu dois avant tout d'être en vie c'est à toi et à toi seule. Tu es une battante Delphine, et ça, tu ne le dois qu'à toi-même, lui assura-t-elle.

Elisabeth se sentie frissonner d'horreur en entendant Delphine lui confier à quel point ces extrémistes étaient des monstres, des monstres qui avaient attenté à leurs vies à tous sans la moindre pitié, et qui étaient dangereusement bien renseigné. Comment avaient-il pu savoir qu'Aquilla et toute sa famille se trouverait dans cette maison d'amis à ce moment précis ? Et pas qu'eux d'ailleurs, Sean lui avait confié que les pro-moldus savaient parfaitement où se trouveraient chacun des membres du Conseil à la date du 26 juin, et s'en était effrayant, tout comme de savoir que les frontières qui délimitaient leurs territoires ne les arrêtaient désormais plus. Apprendre de la bouche de l'une de leur victime qu'ils étaient également prêt à tuer les enfants innocents qui étaient présent à cet instant parce que leurs seuls crimes étaient d'être des sorciers l'horrifiait littéralement. Et cela lui faisait bien sur penser immanquablement à la mort de son regretté petit-fils. Les moldus prouvaient une fois de plus qu'ils n'avaient aucune limite, aucune considération pour la vie, quelle qu'elle soit et qu'ils étaient tous des monstres sans pitiés. Décidément, elle les haïssait tous, ils prouvaient bien par leurs agissement qu'il n'y en avait pas un seul à sortir du lot

- Cela a du être abominable à vivre, ma pauvre chérie,
compatis sincèrement El en faisant une légère pression sur son bras pour lui montrer son soutient indéfectible dans cette épreuve. Et personne d'autres n'a été blessé ? S'assura-t-elle

Il lui semblait que seule Delphine avait été blessé, mais peut-être se trompait-elle. Peut-être ne l'avait-on averti que pour la jeune femme parce qu'elle la connaissait, fort heureusement cette dernière lui confirma avoir été la seule victime de cet attentat. C'est alors qu'elle prenait des nouvelles de Sean, qu'Elisabeth sentie les larmes lui monter aux yeux. Elle était parvenue à garder une certaine façade jusqu'à présent mais dans le fond, tout cela était particulièrement éprouvante pour elle, même si elle faisait de son mieux pour ne rien laisser paraitre.

- Sean est parti en guerre contre les pro-moldus et je suis extrêmement fière de mon mari. C'est grâce à lui si les attentats ont été déjoué et que des personnes ont pu être sauvé mais ce n'est pas son métier, il est professeur de potion, pas inspecteur. Il a été blessé pendant l'attentat de Chicago, il s'en est remis, mais cela aurait pu être beaucoup plus grave, se mit-elle à pleurer, tremblante en songeant au pire. Regardes où ça le mène. Tu n'as pas idée de ce que l'on ressent lorsqu'un type au costume sombre que tu ne connais pas viens chez toi pour t'annoncer qu'on vient d'hospitaliser ton mari... Je ne veux pas que la prochaine fois on m'appelle de la morgue.

Incapable de les retenir davantage, ses larmes jaillirent de ses yeux et elle plaqua sa main devant sa bouche pour étouffer un sanglot. Elle détourna son regard, renifla et respira pour se reprendre

- Excuse-moi. C'était déjà dur d'apprendre que Sean avait été blessé, alors quand j'ai su que toi aussi...
El du s'interrompre pour faire une respiration qui lui permit de ne pas se laisser envahir à nouveau pour ses émotions et de reprendre un peu plus froidement. Je suis en colère contre les moldus, je pense que l'on n'a rien à gagner à les fréquenter. Nous ne sommes pas fait pour vivre ensemble, les moldus ne nous acceptent pas et nous n'avons pas besoin d'eux. Nous devrions vivre comme avant, chacun de notre coté. Regardes Imane Khazen, cette femme est un ange qui a oeuvré sans relâche pour essayer d'aider nos deux communautés à s'accepter, et qu'est-ce que ces monstres ont fait ? Les mots me manquent quand j'y pense, c'est juste... abominable. Je ne serais pas surprise de découvrir qu'elle renonce à financer plus longtemps ses maisons et ce serait compréhensible. Moi c'est ce que je ferais en tout cas. Mais tu es la mieux placée pour la comprendre après ce qui vient de t'arriver


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MessageSujet: Re: Not to bad beeing in Hospital - Elisabeth (et qui veut se joindre ♥)   Not to bad beeing in Hospital - Elisabeth (et qui veut se joindre ♥) Empty15.12.16 2:14

Northwestern Memorial Hospital
Delphine Johns, Elisabeth Brown ...
Est-il mal de tirer profit de notre propre malheur ? De se servir de notre souffrance pour profiter de l'attention des autres pour une fois dans notre vie ? Probablement, mais je n'ai aucun remord...  


Le moindre effort était douloureux, mais Delphine savait bien au fond qu'elle n'avait pas à se plaindre et que les choses auraient pu être bien pires. Elle était là, vivante et bien que la douleur et la fatigue était toujours tenace, elle ne l'empêchait pas d'agir relativement normalement... enfin aussi normalement que possible vu où elle se trouvait. Elle s'était empressée de rassurée Elisabeth, refusant de dépasser une certaine limite de pitié qu'elle aimait inspirer pour avoir de l'attention, mais c'est en la voyant améliorer son confort même si elle lui avait confirmée que ça allait qu'elle fut le plus touchée.

« Merci... »

Ne perdant pas une seconde pour croquer dans ce délicieux cookie qui lui faisait oublier l'horreur des repas d'hôpital et du manque de gras, de sel et de sucre... bref de saveur que les plats manquaient. Elle était reconnaissante envers Elisabeth, mais également envers son époux. Le professeur Brown était également un homme à part... Delphine avait conscience qu'elle était tout sauf l'élève idéale et rêvée, mais malgré ça et le nombre de choses qu'elle lui avait fait traversé, elle avait toujours eu une affection particulière qu'elle savait réciproque envers son ancien professeur de potion. Elle les trouvaient tellement adorables tous les deux... Elle savait que ce n'était certainement pas ce genre de relation qu'elle vivrait avec l'homme dont elle portait la bague présentement et bien qu'elle prétendait le contraire, son coeur se serrait à l'idée de ne peut-être jamais connaître une véritable histoire d'amour.

La douleur physique était une chose, c'était certain, mais la douleur psychologique était encore plus douloureuse à supporter. Elle avait beau aimer se souvenir à quel point elle allait bien vue les circonstances, dès que c'est dernière étaient évoquées les choses devenaient plus difficile. Non seulement pour la peur qu'elle avait ressentit lorsqu'elle avait véritablement cru mourir pendant quelques instants, mais surtout parce qu'elle savait qu'elle était passée bien près de l'être ayant le plus de valeur à ses yeux. Aquilla était tout pour elle, jamais elle n'aurait supporter de le perdre. Tout c'était tellement bousculé dans sa tête vu la rapidité avec laquelle cette journée tranquille avait été brisée. Se remémorer ainsi les évènement était difficile pour elle, mais au coeur de toute cette douleur se trouvait aussi le souvenir de cet immense soulagement, de cet espoir qu'elle avait ressenti en le voyant apparaitre alors qu'elle était persuadée de mourir. Elle se souvenait de très peu de choses de lui, mais elle avait quand même une vague image de son visage et un souvenir plus assuré de son prénom. Devant la réaction d'Elisabeth, Delphine hochait la tête avec un petit sourire aux lèvres. Oui, il l'avait sauvé. Pas seulement elle, mais le reste de sa famille également car les coups de feux avaient alors complètement cessés.

« Non je ne l'avais jamais vu... Mais je suis certaine que c'était bien un moldu. J'ai un vague souvenir d'un quiproquo avec ma mère à ce sujet pendant que j'étais étendue. Il savait quoi faire avec ce genre de blessure. »

Précisait-elle tout en portant sa main vers son le creux de son épaule sans toutefois osé peser contre la blessure, craignant la sensation que cela entraînerait. L'entendre lui dire qu'elle était la seule à qui elle devait sa survie la touchait et le petite sourire qu'elle lui adressait le lui prouvait de façon éloquente. Elle aimait entendre qu'elle était une battante même si au fond d'elle elle savait qu'elle était sans doute bien plus bornée que courageuse et que c'était à ça qu'elle devait véritablement sa survie... Après tout, elle avait bien l'intention de mourir uniquement lorsqu’elle se sentirait prête à le faire... Néanmoins, elle savait que peu importe la force de sa conviction, s'il n'avait pas été là pour empêcher l'un de ses monstres de tirer à nouveau, elle n'aurait rien pu faire. Sa mort aurait sans doute était la première d'une longue série puisqu'à voir comment il tirait sans considération, ils n'avaient aucune compassion pour les enfants.

« Personne non... Heureusement. »

Du moins personne lors de cette attaque, mais elle était consciente que plusieurs autres avaient éclatées un peu partout aux États-Unis. Non pas qu'elle n'appréciait plus de se plaindre de son propre sort, mais elle souhaitait véritablement savoir comment se portait Sean. Son professeur était impliqué dans cette enquête et Chicago avait été le centre névralgique de l'attaque des extrémistes. Elle espérait sincèrement qu'il ne lui était rien arrivé, mais le visage d'Elisabeth lui laissait présager tout le contraire. Le coeur serrer, elle attendait avec une certaine impatience la suite des explications. Elle comprenait ce que devait ressentir Elisabeth, il était vrai que son mari était un potionniste hors-pair et elle ne doutait pas qu'il soit utile et qu'il n'hésite pas à s'impliquer, mais il n'était pas un enquêteur. Laissant échapper un Oh non... faiblement murmuré alors qu'elle lui apprenait qu'il avait été blessé, elle posa sa main contre son bras à son tour.

« Désolé... je ne savais pas. »

Elle s'en était voulu d'avoir posé cette question dès l'instant où elle avait vu l'état dans laquelle elle avait mise Elisabeth. Elle ne savait pas quoi dire, elle parvenait parfaitement à s'imaginer la douleur qu'elle avait dû ressentir. Delphine était souvent frivole et elle adorait tourner au ridicule la moindre situation, mais il y avait des sujets comme celui-ci qui la touchait profondément.

« Je peux comprendre... Est-ce qu'il va quitter l'enquête ?»

Delphine espérait que oui... Mais elle ignorait si Sean voyait les choses de la même façon qu'Elisabeth. Elle avait légèrement hésité avant de poser la question, mais elle n'avait finalement pas pu résister, espérant l'entendre lui dire que son mari écouterait ses conseils et repartirait avec elle à Boston. Delphine pouvait comprendre sa colère et elle savait qu'elle ne pouvait s'avancer d'avantage sans risquer de trahir les idéaux qui grandissaient en elle de plus en plus. Elle demeurait une Johns, elle n'avait pas le droit de les défendre simplement dès que l'occasion se présentait. Lors de ses nombreux voyages secrets, elle avait vu à quel point il était inutile d'éradiquer ainsi les moldus et elle s'était même attachée à plusieurs d'entre eux. Si l'avis d'Elisabeth s'était montré trop dure elle n'aurait surement pas résister longtemps, pourtant contrairement à plusieurs qui voulaient les transformer en esclave ou les exterminer, elle souhaitait simplement retrouver cette vie d'avant où ils vivaient chacun de leur côté et il était vrai qu'elle partageait partiellement son idée. Il était vrai que lorsqu'ils ignoraient leur existence la cohabitation était bien plus facile, mais elle savait aussi que ça ne réglait pas tout. Les moldus appartenant au groupuscule extrémistes étaient effectivement des monstres à qui elle souhaitait de vivre la plus horrible des tortures, mais elle ne pouvait aller entièrement dans le même sens qu'Elisabeth... Delphine avait tenter d'esquiver le sujet et pourtant elle se retrouva rapidement bloquée en l'entendant retourner les faits afin de préciser qu'elle était bien concernée.

« C'est difficile à dire... Si Imane Khazen croit véritablement en ses idéaux ça ne va peut-être pas changer.... Les extrémistes ont toujours existé et ils existeront toujours, elle devait en être consciente depuis longtemps. »

La jeune femme haussait les épaules par habitude ce qui eut pour effet de lui retirer une grimace. Elle oubliait toujours qu'elle ne pouvait plus faire certains mouvements, même les plus simples, sans avoir mal.

« On verra bien... Pour l'instant j'espère surtout qu'ils seront tous arrêtés. Je suis chanceuse, celui qui a tenté de me tuer est hors d'état de nuire, mais, certains sont toujours en libertés... Pour être franche c'est surtout ça qui m'inquiète. Ils ont déjà fait tellement de mal... Je me fou qu'ils les retrouvent mort ou vivants, je veux seulement qu'ils les retrouvent. »

Elle n'avait peut-être pas de haine envers les moldus en général, mais envers eux c'était bien différent... Elle aurait voulu pouvoir se venger en leurs faisant vivre la même peur et la même souffrance qu'ils lui avaient fait vivre. à ses yeux, la prison était presque trop douces pour eux, ils méritaient tellement pire...

« Tu sais... Garde cette information pour toi, mais... J'ai bien l'intention d'utiliser ma blessure pour forcer mon frère à rester avec moi à Boston et à ne surtout pas s'impliquer dans l'enquête s'ils ont besoin d'aide pour neutraliser le Cercle... Il faudrait te trouver quelque chose pour forcer Sean aussi à rentrer à la maison et à ne pas pouvoir retourner sur l'enquête. »



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Elisabeth J. Brown
Elisabeth J. Brown

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NOT TO BAD BEEING IN HOSPITAL


The only difference between a good and a bad day is your attitude.



Même si elle tâchait de ne rien en montrer, Elisabeth désapprouvait complétement le sentiment de reconnaissance que Delphine paraissait éprouver à l'égard de l'un de ces moldus, même si bien évidemment, elle ne lui en tenait pas rigueur le moins du monde compte tenu des circonstances. La jeune femme avait été la victime d'une horrible machination, et avait vécu l'expérience la plus traumatisante de toute sa vie. En connaissance de cause, il était tout à fait normal qu'elle n'ait pas les idées claires sur le rôle qu'avait pu jouer cet homme dans cette histoire. Et même en admettant qu'elle se trompait, même si Delphine avait raison, cette admiration ou reconnaissance (ou quelque soit ce sentiment qu'elle éprouvait à l'égard de son pseudo sauveur) était dangereuse car influencé par sa jeunesse et son idéalisme. Penser ainsi risquait de troubler ses convictions et par conséquent de la mettre en danger en faisant de cette possible exception, une généralité. Elisabeth avait bien plus d'expérience qu'elle, et malheureusement elle savait à quel point les moldus étaient de nature fourbe et cruelle, ils avaient été la cause de tant de leurs malheurs... la perte de leur petit-fils tout d'abord, puis l'apparition de ce groupuscule pro-moldus qui avait fait tant de victimes dans leur communauté, et enfin, l'attitude ampli d'hostilité des représentants moldus des partisans du Nouveau-Monde et des inquisiteurs à l'égard de son mari et d'Ethan. Elle avait eut le privilège de faire leur connaissance et si elle n'avait pas réellement eut l'occasion de discuter avec Mr Fernandes qui paraissait être un homme des plus austère elle n'avait pas échappé à Mr Grayson qui, à l'opposé, était un homme des plus surprenants. Il s'était montré particulièrement charmant à son encontre, réussissant même à la faire rire lors de cette fameuse soirée, au plus grand agacement de son époux. Mais si elle était entrée dans son jeu et avait su faire preuve de diplomatie, qualité qui manquait cruellement à son époux quand il avait quelqu'un dans le nez, elle n'en demeurait pas moins dupe. En apparence, face aux médias, le regroupement des factions orchestré par le Président Marshall était une véritable réussite, mais la réalité était bien différente. Moldus et sorciers avaient en réalité beaucoup de mal à se supporter et ne se faisaient pas confiance. Elle ne savait pas par quel miracle ils étaient parvenus à mettre leurs différents de côtés pour mettre fin aux agissements des pro-moldus. Et si elle se réjouissait de cette victoire, elle espérait, tout au fond d'elle-même que le Cercle saurait se montrer plus malin et parviendrait à leur échapper. On avait beau les qualifier de terroristes, ces hommes et ces femmes avaient levé leurs baguettes pour les protéger de l'oppression dont ils étaient victimes depuis bien trop longtemps par les moldus. Elle avait beaucoup de respect pour le Haut-Conseiller et le Conseil des Mages mais force était de constater que depuis l'apparition du Dôme, ils s'étaient montrés beaucoup moins virulent et beaucoup plus diplomate dans leurs agissements. Libérer l'ancienne magie était une bonne chose, la seule à chose à faire de son point de vu, ils avaient eut raison et le Conseil avait toujours assumé cette décision la tête haute, mais depuis, qu'avaient-ils fait pour les protéger ?
Le Cercle lui, on avait beau dire, n'avait pour le moment attaquer aucun innocent, ils ne s'en était pris qu'à des personnes responsables d'un crime quelconque. Sean avait beau participer à cette enquête, elle n'était pas sans savoir qu'ils partageaient exactement la même opinion à ce sujet. Les moldus étaient foncièrement mauvais et Delphine encore jeune et influençable ne devait surtout pas se laisser naïvement séduire par l'un d'entre eux. Cependant elle-même mère de deux enfants, bientôt trois, était bien placée pour savoir qu'il était préférable de ne jamais entrer en conflit ouvert avec les idées de sa progéniture, la meilleur tactique qu'elle connaissait pour les rallier à son avis et avoir gai de cause s'était de se montrer plus fine qu'eux. Elle pouvait imaginer sans peine MMe Jones cherchant à protéger son enfant de cet individu et bien qu'elle ne fut pas là pour le voir, elle visualisait parfaitement la scène décrite par la jeune convalescente, et cela eut pour conséquence de lui tirer un sourire amusé

- Cela ne m'étonne pas de ta mère, lui sourit-t-elle

Elisabeth avait déjà rencontré la mère de Delphine à plusieurs reprise, c'était une femme de caractère qu'il était préférable de caresser dans le sens du poil. S'opposer frontalement à elle était une très mauvaise tactique, il était largement conseillé de faire preuve d'un peu plus de subtilité lorsque l'on n'était pas d'accord avec elle, mais dans le fond c'était une femme de bien dont elle partageait les idées conservatrices de leur parti et qui avait de beaux enfants qui étaient devenus de remarquables jeunes adultes

- J'en suis soulagée
, lui confirma sincèrement Elisabeth en entendant Delphine lui assurer que personne d'autre n'avait été blessé

Elle savait que les Jones avait pour habitude de se retrouver en famille le temps d'un week-end à Evanstone à cette période de l'année. Elle n'était pas non plus sans ignorer qu'il y avait de jeunes enfants qui aurait pu voir leur courte existence s'arrêter brutalement à cause de ces déséquilibrés. Ils avaient déjà prouvé qu'ils ne faisaient montre d'aucune pitié en commettant leur premier crime dans une école alors en quoi la présence de jeunes enfants aurait-elle pu être dérangeante à leurs yeux ? Le bilan des victimes auraient tellement pu s'alourdir sans la présence de son mari et de cette coalition des factions. Son mari qui avait été blessé dans cette attaque, son mari qui en théorie n'aurait jamais du se trouver là... En entendant Delphine s'enquérir de la santé de Sean, Elisabeth n'avait pu contenir le trop plein d'émotions que cette question pourtant innocente avait provoqué en elle. Peut-être que les hormones y étaient pour quelque chose, probablement d'ailleurs, mais il n'y avait pas que ça. Cet année 2030 était un véritable cauchemar au quotidien, et pas uniquement pour le pays, mais bien principalement pour eux, pour sa famille. Avec le décès de leur petit-fils, dont le meurtrier, toujours en liberté, courrait toujours, Elisabeth avait vu deux de ces hommes être profondément meurtri et elle n'était pas certaine qu'ils parviennent un jour à s'en remettre. Le pouvait-on ?
C'était d'ailleurs en grande partie pour Sean Jr que son mari avait accepté cette mission que le Conseil lui avait confié en lui demandant à lui plutôt qu'à un autre, de les représenter lors de cette enquête suite à la défection de Mr Burton qui avait été durement éprouvé par le décès brutale de sa regrettée épouse.

Pour la première fois depuis le début de toute cette histoire, Elisabeth avait fini par craquer et par confier à quelqu'un tout ce qu'elle avait sur le coeur. Toutes ces angoisses qu'elle avait éprouvé en apprenant qu'il s'était engagé dans cette enquête très dangereuse, quand on les avait réveillé au beau milieu de la nuit dans leur chambre d'hôtel pour demander à Sean d'intervenir dans un quartier résidentiel où s'affrontaient Pro-moldus et membres du Cercle alors qu'il n'était pas un homme de terrain mais un homme de science, ou dernièrement en découvrant que son mari avait été conduit à l'hôpital suite aux attentats de Chicago sans qu'on ne lui donne plus de détails. Etait-il mourant ? Allait-il pouvoir s'en sortir ? Etait-ce grave ou superficiel ? Le temps de prendre ses affaires, de transplaner et de parler au médecin, cela n'avait durer qu'une vingtaine de minutes tout au plus, et pourtant le temps ne lui avait jamais paru aussi long que durant cette angoissante attente durant laquelle elle était plongée dans l'ignorance la plus totale. C'était éprouvant et à vrai dire, elle s'étonnait elle-même de ne pas avoir craqué plus tôt, pourtant elle s'en voulu immédiatement d'avoir perdu le contrôle de soi, ce n'était ni le lieu, ni le moment et surtout, ce n'était pas à Delphine de subir tout cela. Delphine qui avait été suffisamment éprouvé elle aussi sans qu'elle ait besoin d'en rajouter davantage. Essuyant rapidement ses larmes en reniflant, elle esquissa un sourire navré

- Tu n'as pas à t'excuser, c'est moi qui suis navrée de t'embêter avec mes inquiétudes. Merci beaucoup pour ta compassion,
la remercia-t-elle avec douceur tout en posant sa main sur son visage avec gratitude. Il va bien, il a juste besoin de repos mais il va bien et c'est l'essentiel.

Sur le visage de Delphine se peignait une expression très grave, une expression qu'on lui connaissait très peu et qu'il était très rare de pouvoir observer chez elle. La jeune femme était clairement bouleversé parce qu'elle venait de lui annoncer et Elisabeth maudit sa faiblesse du moment. Sa famille avait du vouloir la protéger et la préserver un maximum pour qu'elle se concentre sur sa propre guérison et elle qu'est-ce qu'elle faisait ? Elle venait épancher ses malheurs sur son épaule.

- Il n'a pas encore pris de décision quand à ce sujet mais je ne doute pas que nous seront bientôt fixé. Mon mari connait ma position mais il sait aussi que quoi qu'il décide je le soutiendrais toujours


Et aussi difficile que ce serait, Elisabeth pensait chacun de ses mots. Sean pourrait toujours compter sur elle et sur son soutient inébranlable car quoi qu'il décide, quoi qu'il fasse, elle serait toujours extrêmement fière de lui, et ça rien, ne pourrait jamais le changer.
Elisabeth ne rétorqua rien concernant l'opinion un peu idéaliste de Delphine mais à son sens, l'actrice qui avait été malmené pendant cette affaire avait du être profondément marqué et personne ne pourrait lui en vouloir de faire désormais marche arrière, de revoir ses priorités ou de changer tout simplement d'opinion quand au combat qu'elle menait. Après tout, avant d'être une icône que ce soit cinématographique ou de paix, elle restait avant prioritairement une femme et surtout une mère. La mère d'une toute jeune enfant qui avait bien faillit se retrouver orpheline. Delphine pensait qu'Imane Khazen poursuivrait son combat, Elisabeth en était beaucoup moins convaincu. En un sens, la jeune femme avait parfaitement raison, les extrémistes avaient toujours existé et ce de tous temps, et malheureusement, tel de la mauvaise herbe dont il était impossible de se débarrasser et qui étouffait vos plus belles plantes dans vos jardins, existeraient toujours. Même des siècles après leurs morts, et bien que les causes à défendre ou les combats à mener seraient différents, elle ne doutait pas qu'il y en aurait encore. Elle doutait cependant, que la star était réellement consciente de tout ce que son engagement politique pouvait impliquer mais nul doute que d'avoir frôlé la mort de prêt avait obligatoirement fait changer ses priorités. Quelque soit sa décision quand à l'avenir des maisons Khazen, elles ne tarderaient pas à le savoir.
Un sourire chaleureux et tendre se dessina sur ses lèvres lorsque Delphine lui fit part de son seul souhait actuel : celui de savoir tous ces extrémistes définitivement mis hors d'état de nuire.

- Dans ce cas je peux t'annoncer une bonne nouvelle, absolument tous les pro-moldus ont été arrêté, du moins, pour ceux qui n'ont pas été abattu pendant les conflits. Tu ne risques plus rien. Quand à ceux qui ont été arrêté attendent désormais leur jugement et je doute fortement qu'ils obtiennent la moindre clémence.

Le pays avait besoin de s'unifier après s'être autant déchiré et divisé, et pour se faire, afin de retrouver une certaine unité, qui permettrait de prouver à tous les citoyens d'Amérique qu'ils soient moldus ou sorciers, que la justice était là pour les protéger, tous autant qu'ils étaient. Et pour se faire, pour être réellement pris au sérieux, ils devaient se montrer très ferme quand au sort que la justice de ce pays allait réserver à ces assassins. Ils avaient pris des vies, de son point de vu, aucune clémence n'était permise, on devait également prendre les leurs. Ses pensées implacables furent éclairé par l'espièglerie de Delphine qui n'avait rien perdu de sa malice. Son conseil et la légerté avec laquelle elle le lui avait donné, la fit même rire joyeusement.

- Je trouve que c'est une excellente idée et un excellent conseil ! J'en prends bonne note, si tu as des idées n'hésites surtout pas

Même si dans le fond elle savait qu'elle n'en ferait rien, Elisabeth adorait voit la jeune femme comploter et réfléchir à des plans facétieux qui lui ressemblait tant pour obtenir gain de cause. Cela prouvait que la jeune femme allait bien et récupérait beaucoup mieux qu'elle ne l'aurait pensé. Elle avait de l'appétit, de jolies couleurs, elle riait et n'avait strictement rien perdu de sa bonne humeur et de sa jovialité.

- Est-ce que tu sais quand est-ce que les médecins te laisseront sortir ? Ça ne devrait plus trop tarder... Je suis persuadée qu'Aquilla prendra plaisir à te dorloter, mais si jamais il a besoin d'être un peu soulagé ou si tu as envie de compagnie sache que moi et cookies viendront te voir avec plaisir

Elisabeth se doutait bien que la jeune fille ne devait pas manquer de présence aimante qu'il s'agisse d'amis ou de proches comme les membres de sa famille ou son fiancé, tous prêt à s'occuper d'elle et à entrer avec bonheur dans son jeu, non pas parce que personne ne savait lui dire non, mais tout simplement parce que tous mesuraient leur chance de l'avoir toujours avec eux, à leur coté. Pouvoir l'entendre rire, plaisanter, minauder, n'avait pas de prix, c'était un cadeau sans pareil dont tous en mesurait chaque jour l'ampleur.

- Je t'ai apporté quelques revue de mode et de musique, je me suis dit que ça t'intéresserait, ainsi que de quoi faire quelques origami magique, je me suis dit que tu trouverais vite de quoi rendre très rapidement chèvre le personnel hospitalier avec tes inventions de papier, plaisanta-t-elle. Et puis je t'ai rapporté ce petit cadeau un peu personnel... je me suis dit que tu apprécierais surement.

Elisabeth laissa à Delphine le soin de déballer son cadeau et d'y découvrir une magnifique plume magique accompagné d'un sublime carnet à partition. Elle savait que la jeune femme jouait d'un instrument de musique même si elle n'avait pas retenu l'instrument en question. Elle ignorait si elle composait mais peu importait, si ce n'était pas le cas, son hospitalisation l'y inciterait surement, en tout cas elle espérait que son petit cadeau lui ferait paisir

- Je ne vais pas t'embêter plus longtemps, est-ce que tu as besoin d'autre chose ?



Bloody Storm
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